La panleucopénie féline : un point sur les données actuelles
Treffel, Emma
Promotor(s) :
Garigliany, Mutien-Marie
Date of defense : 27-Jun-2019 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/7159
Details
Title : | La panleucopénie féline : un point sur les données actuelles |
Translated title : | [en] Feline panleukopenia : an update on current data |
Author : | Treffel, Emma ![]() |
Date of defense : | 27-Jun-2019 |
Advisor(s) : | Garigliany, Mutien-Marie ![]() |
Committee's member(s) : | Antoine, Nadine ![]() Cassart, Dominique ![]() Desmecht, Daniel ![]() Delguste, Catherine ![]() |
Language : | French |
Number of pages : | 51 |
Keywords : | [fr] Panleucopénie féline, parvovirus |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] La panleucopénie féline est une maladie systémique grave touchant surtout les chatons et jeunes chats, causée par le parvovirus félin de la famille des Parvoviridae. Sa structure lui confère une grande résistance dans l’environnement, et la concentration élevée du virus dans les matières fécales d’animaux infectés explique son extrême contagiosité. Les signes cliniques communs d’une infection sont : anorexie, vomissements, diarrhée, leucopénie et hypoplasie cérébelleuse. Une haute fréquence de détection du parvovirus chez des chats cliniquement sains est rapportée. Ces chats cliniquement sains forment donc un potentiel réservoir pour le maintien de l’infection. En routine, des tests rapides permettent d’établir le diagnostic. Cependant le taux de faux positifs n’est pas négligeable puisque ces tests ne font pas la différence entre les souches vaccinales et les souches de terrain. La PCR en revanche, permet le séquençage et le typage des souches afin de confirmer le diagnostic et devrait donc être plus systématisée. La pathogénie du parvovirus est basée sur son tropisme pour les cellules à division active tels que le tissu lymphoïde, la moelle osseuse, l’épithélium intestinal ainsi que les tissus du nouveau-né en division. Cependant des études récentes montrent un tropisme inhabituel puisque le FPV a été trouvé dans des neurones de chat adulte et de nouvelles lésions telle que la vacuolisation des neurones ont été démontrées.
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