De l'accès à l'eau potable et de sa gestion participative en Développement durable. Étude de cas dans le Territoire de Seke-Banza en RD Congo
Matimpi Yongo, Urbain
Promotor(s) : Poncelet, Marc
Date of defense : 20-Jan-2020/24-Jan-2020 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/8736
Details
Title : | De l'accès à l'eau potable et de sa gestion participative en Développement durable. Étude de cas dans le Territoire de Seke-Banza en RD Congo |
Author : | Matimpi Yongo, Urbain |
Date of defense : | 20-Jan-2020/24-Jan-2020 |
Advisor(s) : | Poncelet, Marc |
Committee's member(s) : | Lebailly, Philippe
Kakunga, Madilu |
Language : | French |
Number of pages : | 104 |
Keywords : | [fr] Participation, Gestion participative, Développement durable |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Sociology & social sciences |
Target public : | Researchers |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences de la population et du développement, à finalité spécialisée Coopération Nord-Sud |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences Sociales |
Abstract
[fr] Dans des zones rurales d'Afrique subsaharienne, plus particulièrement à
Ndimba-Phutu, Kindimbungu et Kinzau-Mvuete en RD du Congo, participer à un
projet d’accès à l’eau potable et à la gestion autonome et participative du
réseau de distribution d’eau contribue au développement durable, compris
comme économiquement efficace, socialement équitable, et écologiquement
soutenable. Ce qui ne réussit pas nécessairement à tous les coups. Mais
cela renforce les capacités d'action de la communauté ou du village à
travers des structures de gestion participative ou autonome de son
développement local en termes de satisfaction maximale de besoins en eau
potable et autres, d’équité et de protection de l’environnement. Les
institutions internationales et nationales d’aide au développement
proposent dans le domaine de l'eau plusieurs modèles dont celui de gestion
durable et autonome de réseau de distribution d’eau du genre « asurep »,
présenté comme parmi les plus proches des réalités locales. Mais la
pluralité des groupes stratégiques, les logiques stratégiques et les
logiques représentationnelles, la croissance de la population, l’ampleur de
défis et la complexité des enjeux locaux dans ce domaine interrogent les
modèles jusqu’ici proposés. Qu’il s’agisse du modèle « Asurep », ou
« Structure de gestion hybride (public-privé) », tous butent devant des
difficultés majeures. Réfléchir à un modèle de structure de gestion
tripartite, tridimensionnelle, participative et coordonnée, genre
« COGEPADEP », où des acteurs locaux (communauté-Unité technique de
gestion-SNHR local) collaborent chacun à son niveau, de telle manière que
soit garanti « l’accès de tous à des services d’approvisionnement en eau et d’assainissement et une gestion durable des services en eau »
(6e Objectif du Développement Durable) (ODD), voilà ce à quoi
notre étude de cas voudrait contribuer.
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