La physiothérapie comme traitement principal ou complémentaire à une rupture du ligament croisé crânial chez le chien
Renaud, Solène
Promotor(s) :
Balligand, Marc
Date of defense : 2-Jul-2020 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/9498
Details
Title : | La physiothérapie comme traitement principal ou complémentaire à une rupture du ligament croisé crânial chez le chien |
Translated title : | [fr] PHYSIOTHERAPY AS MAIN OR COMPLEMENTARY TREATMENT OF THE CRANIAL CRUCIATE LIGAMENT RUPTURE IN DOGS |
Author : | Renaud, Solène ![]() |
Date of defense : | 2-Jul-2020 |
Advisor(s) : | Balligand, Marc ![]() |
Committee's member(s) : | Billen, Frederic ![]() Bolen, Geraldine ![]() |
Language : | French |
Number of pages : | 30 |
Keywords : | [fr] rupture du ligament croisé cranial chien [fr] physiothérapie |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] La rupture du ligament croisé cranial est une pathologie qui touche un grand nombre de chiens. Dans un grand nombre de cas elle est due à une dégénérescence du ligament et non à un traumatisme. Cela explique qu’une cicatrisation naturelle soit très difficile sur ce type de lésion. Cette pathologie a de nombreuses implications cliniques car la biomécanique du membre atteint est très modifiée, entrainant de nombreuses conséquences articulaires à plus ou moins long terme. De plus, cette pathologie est extrêmement courante : chaque semaine les services d’orthopédie vétérinaire font face à de nombreux cas de rupture de ligament croisé crânial. Il est donc important d’étudier les différents traitements pouvant être mis en place pour faire face à cette pathologie. Ce travail porte principalement sur les différents types de traitements physiothérapeutiques visant à améliorer la mécanique du genou après une rupture du ligament croisé crânial chez le chien, à la suite ou non d’une chirurgie. En dernier lieu, j’évoquerai les traitements physiothérapeutiques employés en médecine humaine dans des cas similaires, dans le but de comparer avec les traitements vétérinaires.
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