Les options de traitement de l'incompétence du sphincter urétral chez la chienne
D'Hoedt, Alizée
Promotor(s) :
Bureau, Fabrice
Date of defense : 2-Jul-2020 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/9774
Details
Title : | Les options de traitement de l'incompétence du sphincter urétral chez la chienne |
Translated title : | [en] Treatment options of the urethral sphincter incompetence in the bitch |
Author : | D'Hoedt, Alizée ![]() |
Date of defense : | 2-Jul-2020 |
Advisor(s) : | Bureau, Fabrice ![]() |
Committee's member(s) : | Desmet, Christophe ![]() Pirottin, Dimitri ![]() Schurmans, Stephane ![]() |
Language : | French |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] L’incompétence du sphincter urétral est une affection répandue qui touche jusqu’à 20% des chiennes stérilisées. Il est donc intéressant de connaître la physiopathologie de cette affection ainsi que les traitements qui peuvent être mis en place pour y remédier. Plusieurs facteurs anatomiques ou hormonaux entrent en compte dans l’apparition de l’incompétence du sphincter urétral chez la chienne. Le traitement quant à lui, repose sur deux options, l’option du traitement médicamenteux ou l’option du traitement chirurgical.
Le traitement médicamenteux propose plusieurs molécules agissant sur différentes cibles. Celle obtenant les meilleurs résultats est la phénylpropanolamine qui permet d’atteindre jusqu’à 90% de continence chez les chiennes souffrant d’incompétence du sphincter urétral.
Le traitement chirurgical est prescrit lorsque l’animal ne répond pas au traitement médicamenteux, lorsqu’il y devient réfractaire, lorsqu’il y a des effets secondaires indésirables ou lorsque le propriétaire préfère cette solution. Plusieurs techniques ont été mises au point avec des résultats variables mais aucune ne permet une continence complète sur le long terme. D’avantage de recherches et d’études doivent être réalisées pour trouver le traitement chirurgical idéal qui sera mini-invasif et qui présentera le meilleur taux de continence sur le long terme avec en parallèle le moins d’effets indésirables possible.
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