Comment sont négociées les majorités communales en Wallonie ? Analyse dans les communes d'Ans, d'Arlon, de Namur et de Nandrin
Linck, David
Promotor(s) : Grandjean, Geoffrey
Date of defense : 17-Aug-2020/4-Sep-2020 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/10066
Details
Title : | Comment sont négociées les majorités communales en Wallonie ? Analyse dans les communes d'Ans, d'Arlon, de Namur et de Nandrin |
Author : | Linck, David |
Date of defense : | 17-Aug-2020/4-Sep-2020 |
Advisor(s) : | Grandjean, Geoffrey |
Committee's member(s) : | Verjans, Pierre
Jamin, Jérôme |
Language : | French |
Discipline(s) : | Law, criminology & political science > Political science, public administration & international relations |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences politiques, orientation générale, à finalité spécialisée en politiques européennes |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Abstract
[fr] Les recherches concernant la négociation des pactes de majorité au niveau local sont très peu nombreuses. La raison semblant être que pour la population, ainsi que pour les chercheurs, les élections communales ne présentent qu’un intérêt très relatif par rapport à la compétition nationale. Néanmoins, une élection communale est un terrain excellent pour analyser la négociation. En effet, de par la plus grande proximité des acteurs, la présence de listes de cartels – c’est-à-dire regroupant des membres de plusieurs couleurs politiques différentes – ou le contexte historique, la négociation dans les communes peut être très versatile.
Ce rapport n’a pas l’ambition de créer une théorie d’analyse globale des négociations communales mais a pour objectif d’analyser comment les pactes de majorité ont été négociés dans quatre communes aux situations différentes afin de vérifier s’il peut exister certaines similitudes entre les négociations. Cette analyse se fera au travers de plusieurs critères d’influence. Ces facteurs ont été choisis pour représenter le spectre le plus large possible de critères pouvant influencer la négociation communale.
Les communes choisies sont celles d’Ans, d’Arlon, de Namur et de Nandrin. Ce choix se base sur le souhait d’avoir des communes dont les situations électorales sont différentes. De plus, ces quatre communes font partie de trois provinces différentes et ont des tailles différentes. Ainsi, en choisissant ces quatre communes, le spectre d’analyse sera plus grand et l’analyse plus pertinente.
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