Étude du lien d'attachement et de l'alliance thérapeutique auprès de mineurs judiciarisés en pédopsychiatrie (Revue de questions)
Iandolino, Davina
Promoteur(s) : Glowacz, Fabienne
Date de soutenance : 31-aoû-2020/8-sep-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/10525
Détails
Titre : | Étude du lien d'attachement et de l'alliance thérapeutique auprès de mineurs judiciarisés en pédopsychiatrie (Revue de questions) |
Auteur : | Iandolino, Davina |
Date de soutenance : | 31-aoû-2020/8-sep-2020 |
Promoteur(s) : | Glowacz, Fabienne |
Membre(s) du jury : | Quintart, Julie
Stevens, Yves |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Cette revue de questions se centre sur la thématique de l’attachement auprès d’adolescents sous mesure hospitalière contrainte.
Au terme de la littérature sélectionnée, trois questions de recherches ont été dégagée donnant lieu à une discussion en vue de répondre aux questions de recherche.
La première question de recherche porte sur les liens pouvant être dégagés entre l’attachement et le développement de troubles psychiatriques? Les troubles cliniques paraissent plus associés à une insécurité affective. Néanmoins, il n’apparaît pas possible de spécifier le type d’insécurité.
Une autre question est de savoir quels éléments liés au jeune, au soignant ou au cadre environnemental d’une hospitalisation peuvent influencer le développement d’une alliance thérapeutique? Il semble que les stratégies relationnelles d’un jeune insécure pourraient desservir la mise en place d’une alliance thérapeutique. Il ressort également qu’un soignant avec un attachement sécure aura plus de facilités à proposer un cadre sécure. Enfin, l’environnement ne facilite pas l’alliance entre un jeune et le soignant, mais il y a un lien.
Une troisième question de recherche consiste à savoir s’il y a un lien entre l’alliance thérapeutique et la diminution du risque de récidive ? En conclusion, un lien significatif ressort entre l’alliance thérapeutique et les changements positifs mais il peut être associée à d’autres effets.
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