La sculpture sur pierre de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècles dans les églises de la ville de Liège. Mise en lumière des vestiges d'un demi-siècle occulté
Senard, Lucile
Promoteur(s) : Allart, Dominique
Date de soutenance : 31-aoû-2020/5-sep-2020 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/10671
Détails
Titre : | La sculpture sur pierre de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècles dans les églises de la ville de Liège. Mise en lumière des vestiges d'un demi-siècle occulté |
Auteur : | Senard, Lucile |
Date de soutenance : | 31-aoû-2020/5-sep-2020 |
Promoteur(s) : | Allart, Dominique |
Membre(s) du jury : | Oger, Cécile
Van den Bossche, Benoît |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 144 |
Mots-clés : | [fr] Sculpture [fr] Liège [fr] Atelier Palardin-Fiacre [fr] Atelier Thonon [fr] Thomas Tollet [fr] 16e et 17e siècles [fr] albâtre [fr] marbre noir |
Discipline(s) : | Arts & sciences humaines > Art & histoire de l'art |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en histoire de l'art et archéologie, orientation générale, à finalité approfondie |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres |
Résumé
[fr] La production sculptée sur pierre des 16e et 17e siècles dans les églises liégeoises fut longtemps considérée avec peu d’égards. De ces œuvres, « bien peu nous restent, les malheurs des temps et la rage dévastatrice des hommes les ont presque toutes fait disparaitre ». Par ailleurs, les pièces survivantes ne suscitèrent pas l’intérêt qu’elles semblent pourtant mériter. Il était nécessaire d'appréhender cette production avec un regard neuf, rafraichi, et dépouillé de tout a priori.
Ce travail s’articule en six chapitres. Le premier consiste en un état de la question. Un deuxième chapitre est ensuite consacré à l’analyse des matériaux employés. C’est, en effet, notamment à travers l’emploi récurrent de l’albâtre que se définit la production ici étudiée. Par la suite sont évoquées les différentes figures de sculpteurs et marchands de pierres et marbres actifs à l’époque dont les noms nous sont parvenus. Ce chapitre permet également d’évoquer les différentes hypothèses d’attribution qui furent jusqu’alors proposées, et de les confirmer ou de les réfuter le cas échéant. Les chapitres V et VI sont consacrés à une analyse plus en profondeur du corpus, divisé en deux catégories : les pièces de mobilier liturgique et les monuments funéraires. Enfin, le dernier chapitre est consacré à la persistance de l’influence de l’art de Lambert Lombard sur cette production. En effet, il apparaît clairement que cet artiste, bien plus qu’une simple référence, façonna véritablement le goût liégeois sur le long terme.
Cette recherche répond à un double objectif. Le premier est de sortir de l'ombre une production méconnue et méjugée, et d'y poser un regard neuf. Le second est de soulever les bonnes questions afin d'ouvrir de nouvelles perspectives de recherche, étape nécessaire à la prolongation de cette étude qui n'en est encore qu'à ses balbutiements.
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