Perceptions et représentations qu'ont les intervenants du domaine de la toxicomanie des besoins des usagers problématiques de drogues dans leur parcours de soins, selon le genre de ces derniers.
Dauvister, Eline
Promoteur(s) :
Lemaître, André
Date de soutenance : 27-jan-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/11257
Détails
Titre : | Perceptions et représentations qu'ont les intervenants du domaine de la toxicomanie des besoins des usagers problématiques de drogues dans leur parcours de soins, selon le genre de ces derniers. |
Titre traduit : | [en] Perceptions and representations that addiction workers have of the needs of problematic drug users in their care pathway, according to their gender |
Auteur : | Dauvister, Eline ![]() |
Date de soutenance : | 27-jan-2021 |
Promoteur(s) : | Lemaître, André ![]() |
Membre(s) du jury : | El Guendi, Sarah ![]() Seron, Vincent ![]() |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 36 |
Mots-clés : | [fr] genre [fr] drogue [fr] toxicomanie [fr] perceptions et représentations [fr] intervenant |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Les politiques en matière de drogues ont évolué au cours des années. D’un côté, d’une approche répressive, on passe à une approche de réduction des risques par la prise en charge d’usagers problématiques de drogues, considérés comme des patients à soigner. Cependant, plusieurs études mettent en avant la non concordance des aides et suivis offerts avec les besoins de ces derniers. D’un autre côté, les études sur le genre se multiplient, faisant émerger son caractère incontournable dans les études socio-humanitaires, y compris dans le domaine de la toxicomanie. Dès lors, cette étude s’intéresse aux perceptions et représentations qu’ont les intervenants du domaine de la toxicomanie des besoins des usagers problématiques de drogues, selon leur genre. Pour ce faire, treize intervenants ont participé à des entretiens semi-directifs. Les données récoltées mettent en avant des différences de genre, telles que le genre de l’intervenant, les sujets abordés, les raisons de fréquentation de centres, la prostitution, et des non différences de genre portant sur les objectifs, le travail en réseau, la place de l’entourage. Les résultats montrent cependant que le genre n’est pas la question première que les intervenants prennent en compte dans la prise en charge, et qu’elle y est peu intégrée. De plus, nous notons que les perceptions et représentations sont fort androcentriques. Cette étude constitue une ouverture, qu’il serait intéressant de compléter notamment avec le point de vue des usagers problématiques eux-mêmes.
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