Les violences conjugales : Représentations de la place de l'enfant dans les processus de désengagement des violences du point de vue des femmes victimes
Stasik, Orlane
Promoteur(s) : Glowacz, Fabienne
Date de soutenance : 19-jan-2021/22-jan-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/11814
Détails
Titre : | Les violences conjugales : Représentations de la place de l'enfant dans les processus de désengagement des violences du point de vue des femmes victimes |
Auteur : | Stasik, Orlane |
Date de soutenance : | 19-jan-2021/22-jan-2021 |
Promoteur(s) : | Glowacz, Fabienne |
Membre(s) du jury : | Baiverlin, Audrey
Spitz, Jacqueline |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 99 |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] L’objectif poursuivi par ce mémoire est d’obtenir un point de vue global concernant la problématique des violences conjugales. Plus précisément, nous nous sommes axés sur la compréhension des différents processus mis en place par les femmes victimes de violences lorsqu’elles souhaitent se désengager de celles-ci. Dans un second temps, nous tentons de mieux comprendre l’influence de la présence d’un ou plusieurs enfants dans le désengagement des violences conjugales.
Afin de répondre à nos questions de recherche, nous avons réalisés une revue critique de la littérature afin d’arriver à saturation des données concernant la problématique des violences conjugales. Les bases de données utilisées sont PsycINFO et Google Scholar.
Les données recueillies dans cette recherche nous ont permis de mettre en évidence que les femmes victimes de violences mettent en place une multitude de stratégies afin de se désengager de celles-ci mais également qu’elles rencontrent plusieurs difficultés dans leurs actions vers un désengagement définitif. La présence d’un ou plusieurs enfants peut représenter un frein ou un accélérateur dans la sortie en fonction des besoins, des perceptions et des capacités des femmes. De plus, la rupture ne permet pas d’affirmer la fin des violences, celles-ci pouvant se perpétrer même après la séparation, notamment lorsque l’auteur et la victime sont également parents.
Des implications cliniques et des perspectives de démarches scientifiques futures ont été mises en évidence afin de rendre compte de la complexité de cette problématique.
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