Dans quelle mesure la génétique joue-t-elle un rôle dans le processus de domestication ?
Hanssen, Justine
Promoteur(s) : Georges, Michel
Date de soutenance : 21-jui-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/11867
Détails
Titre : | Dans quelle mesure la génétique joue-t-elle un rôle dans le processus de domestication ? |
Titre traduit : | [en] To what extent does genetics play a role in the process of domestication ? |
Auteur : | Hanssen, Justine |
Date de soutenance : | 21-jui-2021 |
Promoteur(s) : | Georges, Michel |
Membre(s) du jury : | Charlier, Carole
Druet, Tom Farnir, Frederic |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Génétique & processus génétiques |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Le premier chapitre est une introduction qui définit ce qu’est la domestication. Il explique également les caractéristiques de son étude moderne ainsi que ses domaines de contribution.
Le deuxième chapitre présente un résumé de l’histoire de l’évolution. On y présente une liste des scientifiques les plus représentatifs de ce domaine ainsi que leurs découvertes. Darwin est sûrement le plus important d’entre eux car il est à la base de nombreuses théories comme la sélection naturelle. Ses découvertes ont permis à ses collègues d’avoir une base de recherches. Cependant, ses théories ont parfois été réfutées.
Le troisième chapitre aborde le processus de domestication. Celui-ci se déroule en deux parties. La première partie consiste à passer d’un animal sauvage à un animal domestique ; la deuxième, à cibler certains caractères pour obtenir une race particulière.
Il existe également une hypothèse appelée « L’approche du modèle par étapes » qui propose trois voies distinctes par lesquelles les animaux auraient pu être domestiqués : la voie commensale, de proie et dirigée.
Lors de la formation des races, on a constaté une augmentation simultanée de maladies et de troubles liés à la production. Cela a donc un effet négatif sur leur bien-être.
Ce chapitre traitera enfin de l’importance de la génétique et de l’épigénétique.
Le quatrième chapitre définit le syndrome de domestication. Celui-ci a été démontré par l’expérience de Belyaev qui a permis la domestication de renards sauvages en sélectionnant uniquement ceux-ci sur le critère de la docilité. A la suite de celle-ci, on a pu observer l’apparition de différentes caractéristiques.
Ce chapitre listera ensuite les changements communs à différentes espèces au niveau comportemental, physique et physiologique.
La base génétique de la plupart de ces changements est toujours inconnue à ce jour mais il existe différentes hypothèses dont celle de la crête neurale qui semble la plus probable.
Le cinquième chapitre évoquera la domestication du chat au travers de ses origines. Il parlera aussi des modifications phénotypiques et génotypiques.
Le dernier chapitre concerne la domestication du chien. Les origines de sa domestication sont floues. Ce chapitre détaillera les modifications phénotypiques entre le chien et son ancêtre, le loup ainsi que ses modifications génotypiques. Il abordera également les modifications du régime alimentaire ainsi que les gènes impliqués dans celles-ci et l’évolution des races au cours du temps.
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