Taux et facteurs associés à la survie en hospitalisation chez les chiens et les chats avec un uroabdomen
Rowet, Guillaume
Promotor(s) : Claeys, Stephanie
Date of defense : 21-Jun-2021 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/12186
Details
Title : | Taux et facteurs associés à la survie en hospitalisation chez les chiens et les chats avec un uroabdomen |
Translated title : | [fr] Taux et facteurs associés à la survie en hospitalisation chez les chiens et les chats avec un uroabdomen |
Author : | Rowet, Guillaume |
Date of defense : | 21-Jun-2021 |
Advisor(s) : | Claeys, Stephanie |
Committee's member(s) : | Busoni, Valeria
Peeters, Dominique |
Language : | French |
Number of pages : | 34 |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] L’uroabdomen est souvent associé à des traumas abdominaux (comme des accidents de la route), ou causé de manière iatrogène (par manipulation de la vessie, sondage urinaire, cystocentèse) ou par des obstructions urinaires (calculs urétéraux, néoplasmes, maladie des voies urinaires inférieures féline). Les symptômes sont souvent flous et pas toujours d’origine urinaire. La première intervention est de stabiliser l’animal avec une fluidothérapie et une déviation urinaire si nécessaire (drain abdominal, sonde urinaire, tube à cystostomie). Pour confirmer le diagnostic, plusieurs examens complémentaires sont à envisager : la ponction abdominale et analyse du liquide abdominal afin de mesurer les concentrations en créatinine et en potassium et pouvoir les comparer avec celles du sérum, les radiographies sans et avec liquide de contraste(urographie intraveineuse ou cystographie à contraste positif), l’échographie pour confirmer la présence d’épanchement abdominal, la prise de sang pour révéler une azotémie, une acidose métabolique et/ou un déséquilibre électrolytique. Si le diagnostic est confirmé et que le traitement de soutien ne suffit pas, une intervention chirurgicale est nécessaire et elle varie en fonction de la localisation de la rupture sur trajet urinaire. Le pronostic est bon si le diagnostic est précoce et les traitements médicaux arrivent à stabiliser l’animal. Une grande proportion des patients a survécu lors de la prise en charge mais aucune indication avant l’opération n’a pu être identifiée comme facteur de risque.
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