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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire
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Le virus de l'immunodéficience Simienne, voie de compréhension du syndrome d'immunodéficience acquise chez l'Homme

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Roques, Laurie ULiège
Promoteur(s) : Desmecht, Daniel ULiège
Date de soutenance : 21-jui-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/12265
Détails
Titre : Le virus de l'immunodéficience Simienne, voie de compréhension du syndrome d'immunodéficience acquise chez l'Homme
Titre traduit : [en] The simian immunodeficiency virus, a pathway for understanding the acquired immunodeficiency syndrome in humans
Auteur : Roques, Laurie ULiège
Date de soutenance  : 21-jui-2021
Promoteur(s) : Desmecht, Daniel ULiège
Membre(s) du jury : Antoine, Nadine ULiège
Cassart, Dominique ULiège
Delguste, Catherine ULiège
Garigliany, Mutien-Marie ULiège
Toppets, Vinciane ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 40
Mots-clés : [en] Simian immunodeficiency virus
[en] Acquired Immunodeficiency Syndrome
[en] Human immunodeficiency virus
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Public cible : Professionnels du domaine
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Le virus de l’immunodéficience Simienne a naturellement infecté une quarantaine d’espèces de singes, principalement des singes d’Afrique. Comment s’est-il transmis à l’Homme et sous quelle forme ? Qu’en est-il de leur pathogénie respective ?
Ce virus va être à l’origine du virus de l’immunodéficience humaine et par la suite du syndrome d’immunodéficience acquise chez l’Homme, cela étant dû à des phénomènes de transmission inter-espèces, de coévolutions, recombinaisons, surinfections...
Les cellules immunitaires sont les principales cibles pour les deux virus, impliquant le développement d’un syndrome d’immunodéficience acquise. Mais nous verrons à travers cet écrit que l’infection par le virus du primate chez leur hôte naturel n'entraîne généralement pas de syndrome d’immunodéficience dites acquise, correspondant à la maladie présente chez l’Homme. En effet il existe des virus simiens pathogènes et non pathogènes.
Cet agent infectieux induit toute une série de lésions au niveau des nœuds ganglionnaires, du système nerveux central qui seront détaillées grâce au virus du primate.
Il a servi de modèle pour développer des traitements antirétroviraux qui permettent une lutte contre le développement de la maladie, c’est une avancée considérable pour les personnes atteintes, qui vont pouvoir « cohabiter » avec l’infection.


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Access ROQUES_Laurie_TFE_FMV_juin2021_définitif.pdf
Description:
Taille: 2.09 MB
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Auteur

  • Roques, Laurie ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Antoine, Nadine ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Histologie
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  • Cassart, Dominique ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Département de morphologie et pathologie (DMP)
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  • Delguste, Catherine ULiège Université de Liège - ULiège > > Scientifiques attachés au Doyen (F MV)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Garigliany, Mutien-Marie ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Pathologie générale et autopsies
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Toppets, Vinciane ULiège Université de Liège - ULiège > Département de morphologie et pathologie (DMP) > Département de morphologie et pathologie (DMP)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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