Combattre Moraxella bovis dans le cadre de la Kératoconjonctivite Infectieuse Bovine : Traitements et Prévention
Freytel, Charlotte
Promoteur(s) : Sartelet, Arnaud
Date de soutenance : 21-jui-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/12271
Détails
Titre : | Combattre Moraxella bovis dans le cadre de la Kératoconjonctivite Infectieuse Bovine : Traitements et Prévention |
Titre traduit : | [en] Fighting Moraxella bovis in Bovine Infectious Keratoconjunctivitis : Treatment and Prevention |
Auteur : | Freytel, Charlotte |
Date de soutenance : | 21-jui-2021 |
Promoteur(s) : | Sartelet, Arnaud |
Membre(s) du jury : | Bayrou, Calixte
Martinelle, Ludovic Rollin, Frederic |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 38 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Public cible : | Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La Kératoconjonctivite Infectieuse Bovine est une maladie contagieuse qui atteint les jeunes bovins, généralement durant les mois d’été. Elle est causée par une bactérie nommée Moraxella bovis. Celle-ci se développe à la surface de la cornée et est disséminée, au sein du troupeau, principalement via les mouches. Les animaux atteints présentent des lésions oculaires, plus ou moins graves, pouvant aller jusqu'à l’ulcère perforant et la cécité. La morbidité de cette maladie est très élevée ce qui pousse la recherche à trouver des traitements et des solutions préventives. L’antibiothérapie est largement utilisée pour soigner cette maladie. Il existe, néanmoins, des traitements chirurgicaux comme la tarsorraphie ou l’énucléation, dans les stades les plus avancés. La recherche vaccinale est devenue un point clé de la prophylaxie. Malgré de nombreuses recherches à ce sujet, il n’y a aucun vaccin dont l’efficacité a été prouvée contre la kératoconjonctivite infectieuse bovine. En attendant l’avancement d’un projet vaccinal, d'autres pistes de traitement sont à l’étude. L’utilisation de sérum autologue comme il est couramment utilisé en médecine équine, pourrait être développé chez les bovins. Ceci limiterait l’usage d’antibiotique dans un souci de limiter l’antibiorésistance.
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