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Quelle est l'association entre le travail de nuit et la surcharge pondérale chez le personnel soignant en maison de repos?

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Servais, Maëlys ULiège
Promoteur(s) : Philips, Jean-Christophe ULiège
Date de soutenance : 1-sep-2021/3-sep-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/12721
Détails
Titre : Quelle est l'association entre le travail de nuit et la surcharge pondérale chez le personnel soignant en maison de repos?
Auteur : Servais, Maëlys ULiège
Date de soutenance  : 1-sep-2021/3-sep-2021
Promoteur(s) : Philips, Jean-Christophe ULiège
Membre(s) du jury : LAMBOTTE, Pierre-Yves 
Hoge, Axelle ULiège
Mairiaux, Philippe ULiège
Langue : Français
Mots-clés : [fr] obésité, travail de nuit, personnel soignant
Discipline(s) : Sciences de la santé humaine > Santé publique, services médicaux & soins de santé
Public cible : Professionnels du domaine
Etudiants
Grand public
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en sciences de la santé publique, à finalité spécialisée en gestion des institutions de soins
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine

Résumé

[fr] Introduction : L’obésité est un facteur de risque important lié au décès et le nombre de personnes obèses est en constante évolution. L’obésité est un problème de santé publique. Les facteurs de risque de cette maladie non transmissible sont nombreux, divers et variés. Le nombre de personnes âgées nécessitant des soins de longue durée dans un établissement résidentiel est lui aussi en augmentation. Dans ces établissements, le travail s’effectue de jour comme de nuit. L’objectif de cette étude est de comparer les IMC des membres du personnel soignant travaillant en maison de repos, maison de repos et de soins en fonction de leurs horaires de travail.
Méthode : Pour cette étude transversale de type analytique, 254 questionnaires complétés par des membres du personnel soignant travaillant en MR, MRS dans les provinces de Liège et de Namur ont été analysés. Des groupes ont été formés en fonction des horaires de travail : horaire de jour, de nuit ou par quart rotatif. D’autres variables considérées comme des facteurs de risque de l’obésité sont également incluses dans la recherche : durée du sommeil, consommation de café, de tabac, d’alcool, habitude d’activité physique et l’état de santé perçu. Ces données ont été analysées à l’aide du logiciel de statistiques informatique R.
Résultats : Des régressions logistiques univariées et multivariées ont permis d’analyser les données. Il en ressort que les membres du personnel soignant travaillant de nuit ont un risque plus important de présenter un surpoids. Cette étude relève en outre plusieurs facteurs de risque liés à l’obésité à savoir : la consommation d’alcool, le manque de sommeil, la consommation de tabac et l’état de santé perçu.
Conclusion : Cette étude a mis en évidence le risque que représente le travail de nuit par rapport au fait de présenter un surpoids pour les membres du personnel soignant des MR, MRS.


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Annexe(s)

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Auteur

  • Servais, Maëlys ULiège Université de Liège > Master sc. santé publ., à finalité

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • LAMBOTTE, Pierre-Yves
  • Hoge, Axelle ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences de la santé publique > Santé publique : aspects spécifiques
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Mairiaux, Philippe ULiège Université de Liège - ULiège > Département des sciences de la santé publique > Département des sciences de la santé publique
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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