Les liens entre la mémoire de travail verbale et la mémoire à long terme : une étude en IRMf
Yaman, Maximilien
Promotor(s) : Majerus, Steve
Date of defense : 30-Aug-2021/7-Sep-2021 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/13039
Details
Title : | Les liens entre la mémoire de travail verbale et la mémoire à long terme : une étude en IRMf |
Translated title : | [fr] Les liens entre la mémoire de travail verbale et la mémoire à long terme : une étude en IRMf |
Author : | Yaman, Maximilien |
Date of defense : | 30-Aug-2021/7-Sep-2021 |
Advisor(s) : | Majerus, Steve |
Committee's member(s) : | Collette, Fabienne
Bastin, Christine |
Language : | French |
Number of pages : | 142 |
Keywords : | [fr] MVPA [fr] mémoire de travail [fr] mémoire à long terme [fr] mémoire de travail verbale [fr] IRMf [fr] prédictions [fr] Phonologie |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Theoretical & cognitive psychology |
Research unit : | Cyclotron |
Name of the research project : | L.E.A.R.N. |
Target public : | Researchers Professionals of domain Student General public Other |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Ce mémoire a pour titre : « Les liens entre la mémoire de travail verbale et la mémoire à long terme : une étude en IRMf ». Ce mémoire s’inscrit dans un domaine de la littérature qui n’a pas encore trouvé de consensus quant aux mécanismes qui médient le passage des informations de la mémoire de travail verbale à la mémoire à long terme tout comme sur les structures qui seraient impliquées spécifiquement dans cette évolution. Cependant certaines études suggèrent la participation de structures pariétales et temporales dans le traitement de l’information phonologique et d’autres suggèrent que des structures temporales soient à l’origine du traitement lexico-sémantique.
Notre étude utilise l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle et un design longitudinale dans le but de prouver qu’au fur et à mesure des sessions d’apprentissage, les paterns de signaux multivariés migreront des aires temporopariétales postérosupérieures vers les aires temporales plus antérieures.
Les résultats ont montré à plusieurs reprises et de façon robuste que notre manipulation consistant en plusieurs sessions de familiarisation, d’apprentissage et de test permettaient de mettre en évidence la lexicalisation des non-mots présentés lors des tâches de répétition. Malheureusement, les analyses searchlight n’ont pas pu être menées de manière à obtenir des résultats exploitables. De ce fait l’hypothèse principale de migration des signaux multivariés n’a pas pu être validé. Cependant les données récoltées ont quand même pu montrer de manière descriptive que les régions temporales et pariétales étaient impliqués dans la classification de notre modèle « appris vs non-appris ».
Ensuite, nous avons relaté les différentes limites qui se sont imposées lors de cette étude tel que le manque de puissance statistique ou le potentiel effet d’apprentissage de la liste des non-mots à répéter. Cependant aucune d’entre elles n’a pu compromettre nos conclusions. Enfin, nous avons exposé les potentiels impacts que cette étude pourrait avoir pour la recherche fondamentale mais aussi ses implications cliniques.
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