Les façades végétalisées : Analyse comparative et mise au point d'un outil d'aide à la décision
Vandersmissen, Gauthier
Promoteur(s) : Wellens, Joost
Date de soutenance : 23-aoû-2021 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/13260
Détails
Titre : | Les façades végétalisées : Analyse comparative et mise au point d'un outil d'aide à la décision |
Auteur : | Vandersmissen, Gauthier |
Date de soutenance : | 23-aoû-2021 |
Promoteur(s) : | Wellens, Joost |
Membre(s) du jury : | Charles, Catherine
Garré, Sarah Mahy, Grégory Bruyère, Isabelle |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 80 |
Mots-clés : | [fr] murs verts façades végétalisées murs végétaux végétalisation |
Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Architecture Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie |
Organisme(s) subsidiant(s) : | MATRIciel |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en bioingénieur : sciences et technologies de l'environnement, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Gembloux Agro-Bio Tech (GxABT) |
Résumé
[fr] A l’heure où l’urbanisation est de plus en plus importante, la végétalisation des espaces
urbains est un enjeu actuel majeur. En effet, les espaces verts permettent de mitiger les
risques environnementaux, comme l’effet de chaleur urbain, le ruissellement ou encore la
pollution atmosphérique, qui risquent de s’aggraver au vu des conditions climatiques actuelles.
Néanmoins, la densité de construction et l’imperméabilisation rendent les surfaces
horizontales propices à la végétalisation de plus en plus rares. Les façades végétalisées permettent
de valoriser les surfaces verticales qui représentent une superficie beaucoup plus
importante que les surfaces horizontales. Elles permettent de promouvoir le développement
de la biodiversité et de combler les lacunes du réseau écologique tout en améliorant
les performances énergétiques des bâtiments. Plusieurs technologies sont actuellement présentes
sur le marché. Chacune d’entre elles comporte des avantages et des inconvénients.
L’irrigation constitue un point faible de ces technologies et plusieurs pistes, comme l’utilisation
des eaux pluviales ou des eaux grises seront étudiées pour optimiser cet aspect. Le
but de ce mémoire est de faire un état de l’art de ces technologies et de les comparer afin
d’étudier leur balance environnementale et de pouvoir mettre au point une matrice d’aide
à la décision pour accompagner les chefs de projet dans leur choix de la plus adaptée. Cet
outil sera utilisé dans le cadre de plusieurs projets de construction neuve et de rénovation.
Fichier(s)
Document(s)
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.