Le cyberharcèlement sexuel, le sexisme ambivalent, l'anxiété et la dépression après une période de crise chez la population générale de 18 à 30 ans
Racovita, Flavia
Promotor(s) : Glowacz, Fabienne
Date of defense : 22-Jun-2022/28-Jun-2022 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/14502
Details
Title : | Le cyberharcèlement sexuel, le sexisme ambivalent, l'anxiété et la dépression après une période de crise chez la population générale de 18 à 30 ans |
Author : | Racovita, Flavia |
Date of defense : | 22-Jun-2022/28-Jun-2022 |
Advisor(s) : | Glowacz, Fabienne |
Committee's member(s) : | Gavray, Claire
Silvestre, Aude |
Language : | French |
Number of pages : | 80 |
Keywords : | [fr] cyberharcèlement sexuel, sexisme ambivalent, anxiété, dépression, covid-19 |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Cette étude a pour objectif d’investiguer le cyberharcèlement sexuel à la suite d’une période de crise et de le mettre en relation avec différentes variables comme le sexisme ambivalent, l’anxiété, la dépression, la consommation de substances et l’idéation suicidaire. Une enquête en ligne diffusée sur le réseau social Facebook a permis de tester, sur un échantillon de 460 personnes de 18 à 30 ans, différentes hypothèses qui postulent que chacune de ces variables prédit la victimisation de cyberharcèlement sexuel et ce, depuis l’apparition de la crise sanitaire mais aussi que le taux de victimisation a augmenté depuis la crise. Nos résultats n’indiquent aucune intensification de la victimisation de cyberharcèlement sexuel depuis la pandémie. En revanche, il s’avère que lorsque les variables sont confondues elles prédisent une partie de la victimisation durant cette période. Plus spécifiquement, la durée quotidienne d’utilisation des réseaux sociaux peut prédire à elle seule le niveau de victimisation d’une personne. Concernant le sexisme, il n’est pas considéré comme une variable explicative du cyberharcèlement sexuel. Bien que la majorité de nos hypothèses aient été infirmées, elles nous permettent d’appréhender davantage ce phénomène et d’envisager de poursuivre ce travail sur un échantillon plus représentatif de la population afin de pouvoir en améliorer sa prévention.
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