Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "La libération à l'essai comme modalité d'exécution de la mesure d'internement : réflexion autour de cette mesure par l'intermédiaire de trois intervenants essentiels à sa réalisation."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Mangelschots, Marie
Promoteur(s) : Seron, Vincent
Date de soutenance : 20-jui-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/14734
Détails
Titre : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "La libération à l'essai comme modalité d'exécution de la mesure d'internement : réflexion autour de cette mesure par l'intermédiaire de trois intervenants essentiels à sa réalisation."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Mangelschots, Marie |
Date de soutenance : | 20-jui-2022 |
Promoteur(s) : | Seron, Vincent |
Membre(s) du jury : | Demet, Sabine
Deskeuvre, Christel |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Criminologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en criminologie, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] L'objectif de notre recherche est de mettre en perspective des regards d’intervenants clés quant à l’introduction de la loi du 5 mai 2014 relative à l’internement, à la modalité d’exécution de la mesure d’internement qui est la libération à l’essai et sur l'initiation de la collaboration qui se crée entre les acteurs principaux. Dans cette présente étude nous avons choisi d'utiliser la méthodologie qualitative à l'aide d'entretiens semi-directifs d'une durée variant entre 45 minutes et 1 heure 20. Pour ce faire, nous avons réalisé au préalable un guide d'entretien. Notre échantillon est composé de deux présidentes de Chambre de Protection Sociale accompagnées de leurs assesseurs, quatre assistants de Justice, le coordinateur d'une équipe mobile et un coordinateur d'un trajet de soin pour internés (TSI) attaché à une Cour d'Appel. Il en ressort de ces entretiens qu'il y a premièrement une divergence d'opinion sur la collaboration prévue entre les professionnels. Pour certains, elle existe et elle fonctionne pour d'autres elle est superficielle et inadéquate. Deuxièmement, pour certains intervenants, la place du psychiatre n’est plus fondamentale et n’a plus son sens mais pour d’autres, il y a un manquement quant à une expertise psychiatrique rapide. En conclusion, nous pouvons dire que même si le système belge de défense sociale tend vers une humanisation du parcours d’internement, il reste encore de nombreux progrès à faire pour obtenir ce juste équilibre entre soin et sécurité.
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