Pourquoi les modalités d'imagerie utilisées dans le diagnostic de l'ostéochondrose de l'épaule sont-elles différentes chez le chien et chez l'Homme ?
Thomas, Marine
Promoteur(s) : Etienne, Anne-Laure
Date de soutenance : 27-jui-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/14931
Détails
Titre : | Pourquoi les modalités d'imagerie utilisées dans le diagnostic de l'ostéochondrose de l'épaule sont-elles différentes chez le chien et chez l'Homme ? |
Titre traduit : | [en] Why are the imaging modalities used in the diagnosis of osteochondrosis of the shoulder different in dogs and in humans? |
Auteur : | Thomas, Marine |
Date de soutenance : | 27-jui-2022 |
Promoteur(s) : | Etienne, Anne-Laure |
Membre(s) du jury : | Hamaide, Annick
Deleuze, Stefan Tutunaru, Alexandru-Cosmin |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences de la santé humaine > Radiologie, médecine & imagerie nucléaire |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] L’ostéochondrose est une pathologie orthopédique développementale touchant à la fois les jeunes chiens de grandes races, et les adolescents / jeunes adultes humains. L’anamnèse et l’examen clinique sont déjà très évocateurs de la pathologie mais il est nécessaire d’effectuer des examens complémentaires afin de confirmer le diagnostic. Actuellement en médecine vétérinaire c’est la radiographie qui est utilisée le plus souvent en routine, et parfois d’autres modalités d’imagerie telles que le scanner, l’arthroscopie et l’arthrographie. En revanche, en médecine humaine ces méthodes semblent dépassées : l’IRM est la modalité de choix pour évaluer l’articulation de l’épaule douloureuse. Cet examen permet en effet de visualiser simultanément les structures osseuses, cartilagineuses et tissulaires. Chez le chien, la petite taille de l’articulation de l’épaule rend difficile l’évaluation correcte de ses composants à l’IRM, en particulier les cartilages articulaires. De plus, un risque anesthésique associé à un coût d’examen encore élevé sont également deux explications à son utilisation limitée dans le diagnostic de l’ostéochondrose de l’épaule chez le chien. L’examen clinique associé à la radiographie restent donc à l’heure actuelle la meilleure procédure diagnostique pour cette pathologie chez le chien.
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