L'hypertension pulmonaire chez le chien
Baudrenghien, Lucie
Promoteur(s) : Clercx, Cecile
Date de soutenance : 27-jui-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/15075
Détails
Titre : | L'hypertension pulmonaire chez le chien |
Auteur : | Baudrenghien, Lucie |
Date de soutenance : | 27-jui-2022 |
Promoteur(s) : | Clercx, Cecile |
Membre(s) du jury : | Marlier, Didier
Seabra Campos, Sonia |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] L’hypertension pulmonaire est définie comme une pression artérielle pulmonaire moyenne supérieure à 25mmHg. Le gold standard afin de poser un diagnostic est de mesurer cette pression via une cathéterisation de l’artère pulmonaire toutefois cette technique n’est pas réalisée en médecine vétérinaire car elle est jugée comme trop invasive.
Un grand nombre de pathologies peuvent causer une hypertension pulmonaire. On retrouve trois étiologies majeures : l’augmentation du flux sanguin par exemple lors de shunt du cœur gauche-droit, une augmentation de la résistance vasculaire lors d’atteinte du parenchyme pulmonaire ou un remodelage des vaisseaux et l’augmentation de pression dans les veines pulmonaires lors de défaut du cœur gauche ou de compression.
Le diagnostic en médecine vétérinaire sera basé sur la présence ou non de pathologies pouvant entrainer cette hypertension, les signes cliniques associés et des techniques d’imageries. L’échographie cardiaque est la méthode la plus utilisée, via doppler la mesure de la vitesse de régurgitation au niveau de la valve tricuspide permet d’avoir un gradient de pression entre l’oreillette et le ventricule droit. On ajoute à ce gradient une estimation de la pression au sein de l’oreillette droite pour obtenir la pression artérielle pulmonaire systolique.
Pour finir le traitement de l’hypertension pulmonaire autre que celui de la maladie primaire repose sur l’utilisation de vasodilatateur pulmonaire : les inhibiteurs sélectifs de la phosphodiestérase 5 tel que le sildénafil.
Fichier(s)
Document(s)
Description:
Taille: 37.11 kB
Format: Adobe PDF
Description:
Taille: 765.01 kB
Format: Adobe PDF
Description: -
Taille: 46.13 kB
Format: Adobe PDF
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.