L'aspect chirurgical du traitement des kystes sous-chondraux chez le cheval
Fels, Marine
Promotor(s) : de la Rebiere de Pouyade, Geoffroy
Date of defense : 24-Jun-2022 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/15090
Details
Title : | L'aspect chirurgical du traitement des kystes sous-chondraux chez le cheval |
Author : | Fels, Marine |
Date of defense : | 24-Jun-2022 |
Advisor(s) : | de la Rebiere de Pouyade, Geoffroy |
Committee's member(s) : | Votion, Dominique
Ponthier, Jerome |
Language : | French |
Keywords : | [fr] kyste sous-chondraux [fr] cheval [fr] traitement chirurgical |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Name of the research project : | L'aspect chirurgical du traitement des kystes sous-chondraux chez le cheval |
Target public : | Professionals of domain Student General public |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] Les kystes sous-chondraux peuvent être associés à une boiterie, qui le plus souvent apparait lors de la mise au travail du cheval, mais peut parfois se manifester plus tard. On en retrouve majoritairement au niveau du condyle fémoral médial, et les pur-sang sont les plus touchés. Ils peuvent être diagnostiqués grâce à différentes techniques d’imagerie telles que la radiographie, le scanner, la scintigraphie ou l’IRM. Une fois que la lésion est caractérisée, une décision thérapeutique pourra être prise.
Deux pistes s’offrent à nous : le traitement chirurgical et le traitement conservateur. Ce dernier comprend avant tout du repos et l’administration d’AINS, éventuellement l’utilisation de biphosphonates ou l’injection de corticoïdes par voie intra-articulaire, mais ne présenta pas un taux de réussite satisfaisant. Concernant le traitement chirurgical, il existe différentes techniques. Tout d’abord, l’approche du kyste peut se faire par voie arthroscopique ou non, dépendant de la localisation et de la morphologie du kyste. Dans les cas où ce n’est pas possible, une approche transcorticale sera réalisée, sous contrôle de techniques d’imagerie. Ensuite, il existe deux procédures principales : le débridement du kyste et la pose d’une vis, auxquels peuvent s’ajouter des thérapies complémentaires durant la chirurgie. Il n’y a à ce jour pas de consensus dégageant une technique idéale, il serait donc intéressant d’identifier les critères permettant de privilégier l’une ou l’autre chirurgie.
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Description: ébauche de travail, références entre parenthèses aux articles
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