L'hystérectomie en cas de maladies de l'utérus chez le bovin
Claisse, Célestine
Promoteur(s) : Sartelet, Arnaud
Date de soutenance : 26-aoû-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/15167
Détails
Titre : | L'hystérectomie en cas de maladies de l'utérus chez le bovin |
Titre traduit : | [fr] Hysterectomy in cases of uterine diseases in cattle |
Auteur : | Claisse, Célestine |
Date de soutenance : | 26-aoû-2022 |
Promoteur(s) : | Sartelet, Arnaud |
Membre(s) du jury : | Rollin, Frédéric
Martinelle, Ludovic Bayrou, Calixte |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] Hystérectomie |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] L'hystérectomie est une technique peu pratiquée chez le bovin. Décrite comme
risquée, les taux de survie sont plutôt satisfaisants comme le démontre le sondage
effectué auprès de vétérinaires.
Cette opération est la chirurgie de la dernière chance puisque le plus souvent,
l’alternative semble l’euthanasie. Elle a pour but d’enlever un utérus trop abîmé en
sauvant la vie de la vache. Cependant, bien que perdant ses qualités reproductives,
il a été décrit qu’une vache laitière ovariectomisée en plus d’être hystérectomisée peut
produire du lait pendant encore deux ans avant d’être réformée.
Que ce soit par laparotomie ou par voie externe, cette opération est délicate puisque
le risque d'hémorragie est important. Très souvent, la vache est en état de choc ; ce
qui augmente les risques d'échecs ; il faudra donc traiter cet état en priorité.
Plusieurs approches sont décrites pour cette chirurgie :
- Par voie externe (se fait le plus souvent en cas de prolapsus utérin).
- Par laparotomie dans le flanc gauche sur vache debout.
- Par laparotomie paramédiane sur vache couchée.
- L’hystérectomie partielle.
Pour chaque approche, il est décrit plusieurs techniques et le chirurgien peut décider
de suturer “en masse” ou ligaturer spécifiquement les vaisseaux. Il peut aussi choisir
de laisser le col de l’utérus ou de l’amputer.
Exceptée pour la voie externe où la technique fermée est préférée à l'unanimité, la
littérature actuelle ne permet pas de départager les autres techniques.
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