Mémoire, y compris stage professionnalisant[BR]- Séminaires méthodologiques intégratifs[BR]- Mémoire : " La kinésithérapie au service des urgences "
Gros, Emilie
Promotor(s) : Bruyère, Olivier ; Demoulin, Christophe
Date of defense : 31-Aug-2022 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/15295
Details
Title : | Mémoire, y compris stage professionnalisant[BR]- Séminaires méthodologiques intégratifs[BR]- Mémoire : " La kinésithérapie au service des urgences " |
Author : | Gros, Emilie |
Date of defense : | 31-Aug-2022 |
Advisor(s) : | Bruyère, Olivier
Demoulin, Christophe |
Committee's member(s) : | GILBERT, Allison
Delrez, Sophie |
Language : | French |
Number of pages : | 51 |
Keywords : | [fr] kinésithérapie, service hospitalier d’urgences, pratique interprofessionnelle, modèle de soins, réorientation des services de santé |
Discipline(s) : | Human health sciences > Public health, health care sciences & services |
Target public : | Professionals of domain |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences de la santé publique, à finalité spécialisée en promotion de la santé |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine |
Abstract
[fr] Introduction : Malgré la disponibilité de preuves scientifiques sur l’intérêt de la présence de kinésithérapeutes dans le service des urgences anglo-saxon afin d’y diminuer son engorgement, il n’est pas toujours facile pour les cliniciens d’évaluer si cela est pertinent par rapport au contexte de pratique belge. Objectifs : Avoir l’opinion d’experts sur l’intérêt pour les services d’urgences belges de solliciter des kinésithérapeutes, comme cela est déjà le cas dans de nombreux pays anglo-saxons. Méthode : Une méthode Delphi a été utilisée, interrogeant médecins, infirmiers et kinésithérapeutes avec une expérience de travail dans un service des urgences Résultats : L’opinion des participants diffère en fonction de leur expérience de travail (avoir déjà travaillé ou non avec des kinésithérapeutes dans le service des urgences). Pour les professionnels ayant déjà vécu cette expérience la kinésithérapie est une solution modérément pertinente pour améliorer le fonctionnement des urgences. En revanche, c’est différent pour les autres participants qui considèrent que la kinésithérapie a surtout sa place dans un second temps, après le passage du patient aux urgences. Toutefois, des consensus ont été obtenus auprès de l’ensemble de la population sur le fait qu’il semble intéressant de faire appel à un kinésithérapeute dans le service des urgences pour des problématiques respiratoires et des troubles musculosquelettiques. Ajouter un nouveau professionnel paraît intéressant pour dynamiser le travail de collaboration. Cependant, afin d’être un vrai atout pour le service, le kinésithérapeute doit être formé de manière spécifique tel que c’est le cas dans les pays anglo-saxons. Conclusion : Cette méthodologie a permis à chaque participant de donner son avis sur la nécessité d’avoir un kinésithérapeute dans le service des urgences, quel que soit son expérience et donne des pistes de réflexion sur l’intérêt de cette pratique.
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