Développement d'un outil de reconnaissance automatique des espèces ligneuses tropicales
Kaddouri, Marjane
Promoteur(s) : Doucet, Jean-Louis ; Lejeune, Philippe
Date de soutenance : 26-aoû-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/15391
Détails
Titre : | Développement d'un outil de reconnaissance automatique des espèces ligneuses tropicales |
Auteur : | Kaddouri, Marjane |
Date de soutenance : | 26-aoû-2022 |
Promoteur(s) : | Doucet, Jean-Louis
Lejeune, Philippe |
Membre(s) du jury : | Monty, Arnaud
Fayolle, Adeline Delplanque, Alexandre |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 91 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Sciences de l'environnement & écologie |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en bioingénieur : gestion des forêts et des espaces naturels, à finalité spécialisée |
Faculté : | Mémoires de la Gembloux Agro-Bio Tech (GxABT) |
Résumé
[fr] La reconnaissance des arbres est un préalable à la gestion durable des forêts tropicales. Elle est toutefois rendue complexe par la multitude d’espèces et la difficulté d’observer de près les principaux organes discriminants. Le Deep learning associé à un outil simple d’accès tel que le téléphone, adapté pour la prise d’images d’écorces pourrait être une technologie particulièrement prometteuse. L’objectif de ce travail est donc la création d’un outil préliminaire d’intelligence artificielle de reconnaissance d’espèces d’arbres tropicaux. Pour ce faire, une base de données d’images d’écorces de 20 espèces d’arbres d’Afrique centrale a été créée. Sur base de ce jeu de données, un modèle de classification utilisant le réseau de neurones convolutifs ResNet 18 a été créé. Il en résulte une base de données de 56 000 images contenant 20 classes. Les performances de reconnaissance du modèle sont élevées avec 81,3% d’exactitude avec une tendance à la confusion pour les espèces ayant des caractéristiques morphologiques similaires. Cet outil montre des potentialités d’avenir élevées pour des bases de données plus larges et plus complexes. Cependant, augmenter drastiquement le nombre d’espèces étudiées demandera une complexification des technologies utilisées.
Fichier(s)
Document(s)
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.