Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Les obstacles à la dénonciation de faits de violences sexuelles."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Cornet, Aurore
Promotor(s) : Garcet, Serge
Date of defense : 30-Aug-2022 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/16038
Details
Title : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Les obstacles à la dénonciation de faits de violences sexuelles."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Translated title : | [en] Barriers to reporting sexual violence |
Author : | Cornet, Aurore |
Date of defense : | 30-Aug-2022 |
Advisor(s) : | Garcet, Serge |
Committee's member(s) : | Hautot, Mathilde
Servais, Gwennaëlle |
Language : | French |
Number of pages : | 46 |
Keywords : | [en] Sexual violence [en] obstacles [en] complaint [en] rape culture [fr] culture du viol [fr] obstacles [fr] plainte [fr] violences sexuelles |
Discipline(s) : | Law, criminology & political science > Criminology |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en criminologie, à finalité spécialisée |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Abstract
[en] This work focused on the barriers to reporting sexual violence. What are the elements that slow down women from filing a complaint? According to multiple research results, it seemed that the fear from the look of others and the fact of feeling partly guilty consist in brakes to complaining. Moreover, a knowledge lack of the legal process might be responsible.
A questionnaire was distributed to women aged 18 to 50 living in Wallonia through social media to study this topic. The selection criterion was that they should have been victims of sexual violence.
The sample was composed of 61 participants in the current work. Obtained results showed that shame and fear were frequent and common brakes to complaints. Nevertheless, self-responsibility was also one of them. Victims sometimes felt guilty because of their behavior or attitudes toward their aggressors. Moreover, the survey showed that most of the aggressors knew the victims and were close to them.
In conclusion, there is a difference between the number of cases reported to the police and the number of real facts: this is called the black number. What can we do to reduce this difference? How can we help victims to free themselves from this burden?
[fr] Cet article s’intéresse aux obstacles à la dénonciation de faits de violences sexuelles. Quels sont les éléments qui freinent les femmes à porter plainte ? D’après plusieurs recherches, il semble que la peur du regard des autres ainsi que le fait de se sentir partiellement coupable sont des freins au dépôt de plainte. Une autre hypothèse que j’émets est la méconnaissance du processus juridique.
Pour étudier cette thématique, j’ai choisi de distribuer un questionnaire aux femmes âgées de 18 à 50 ans et vivant en Wallonie via les réseaux sociaux. Ces femmes doivent avoir été victime de violences sexuelles. Mon échantillon est composé de 61 participantes.
Les résultats montrent que la honte et la peur sont des freins très fréquent. Mais l’auto-responsabilité en est aussi un. Les victimes se sentent parfois coupables à cause de leurs comportements ou de leurs attitudes avec leurs agresseurs. D’ailleurs, l’enquête montre que la plupart des agresseurs sont connus et proches de la victime.
En conclusion, il existe une différence entre le nombre de faits rapportés au service de police et le nombre de faits réels. C’est ce que l’on appelle le chiffre noir. Que pouvons-nous mettre en place pour diminuer cette différence. Comment aider les victimes à se libérer de ce poids ?
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