Etude du vécu des différentes générations durant la période COVID-19
Sluse, Nathalie
Promoteur(s) : Blavier, Adelaïde
Date de soutenance : 29-aoû-2022/6-sep-2022 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/16327
Détails
Titre : | Etude du vécu des différentes générations durant la période COVID-19 |
Auteur : | Sluse, Nathalie |
Date de soutenance : | 29-aoû-2022/6-sep-2022 |
Promoteur(s) : | Blavier, Adelaïde |
Membre(s) du jury : | Wagener, Aurélie
Goblet, Margot |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 73 |
Mots-clés : | [fr] COVID-19 [fr] Intergénérationnel [fr] Détresse péri-traumatique [fr] Résilience [fr] Stratégies de coping |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Ce travail de fin d’études avait pour objectif d’étudier le vécu de la période COVID-19 par différentes générations. Pour ce faire, nous avons ciblé notre étude sur trois concepts psychologiques: la détresse péri-traumatique, les capacités de résilience et les stratégies de coping.
Afin de mener cette étude à bien, nous avons recrutés 40 familles. Chacune des familles était représentée par un enfant, un parent et un grand-parent. Cela signifie que trois membres de chaque familles ont participés à notre étude, soit 120 participants au total. Chaque participant a complété un questionnaire sociodémographique et trois échelles. Les enfants, âgés de 8 à 18 ans, ont répondu aux questionnaires suivants: CYRM-28, PDI et SRCS. Tandis que les parents et les grands-parents ont complétés la CD-RISC, la PDI et la WCC.
Les résultats obtenus ne montrent aucun lien entre les scores des trois générations aux différents questionnaires. Il n’existe pas de lien entre la détresse péri-traumatique des trois générations. Notre étude met également en évidence une absence de lien entre les capacités de résilience de chaque génération. Concernant les stratégies de coping, les trois générations ont tendance a utiliser davantage le coping centré sur le problème mais le fait qu’une génération y ait recours n’influence pas le choix de cette stratégie par les autres générations.
Pour conclure, notre étude indique que, dans notre échantillon, le vécu de la période COVID-19 par une génération n’influence pas les autres. Les générations étudiées ont, vraisemblablement, eu des ressentis différents au cours de la pandémie. Dans les recherches futures, il serait intéressant que l’échantillon soit plus conséquent ainsi que de réaliser un entretien clinique avec chaque participant.
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