Surveillance et police. L'épreuve du pouvoir chez Michel Foucault
Bruzzese, Nathalie
Promoteur(s) : Delruelle, Edouard
Date de soutenance : 23-jan-2023/25-jan-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/16613
Détails
Titre : | Surveillance et police. L'épreuve du pouvoir chez Michel Foucault |
Auteur : | Bruzzese, Nathalie |
Date de soutenance : | 23-jan-2023/25-jan-2023 |
Promoteur(s) : | Delruelle, Edouard |
Membre(s) du jury : | Seron, Vincent
Collamati, Chiara |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 106 |
Mots-clés : | [fr] Surveillance, police, illégalismes, criminel, société |
Discipline(s) : | Arts & sciences humaines > Philosophie & éthique |
Organisme(s) subsidiant(s) : | Fédération Wallonie Bruxelles |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en philosophie, à finalité approfondie |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres |
Résumé
[fr] Ce travail de fin d’études s’ancre principalement dans les textes des manuscrits de Michel Foucault qui ont pour objet les rapports de pouvoir : Théories et institutions pénales et La Société punitive (cours prononcés au Collège de France entre 1971 et 1973). Ces deux textes précèdent la parution en 1975 de son ouvrage Surveiller et punir et l’objectif de notre travail sera de mettre en évidence les conditions historiques rendant possible l’émergence d’une fonction spécifique de gestion au sein de la société, à savoir la police.
Notre analyse porte sur les textes de Foucault où nous relevons les objets « police » et « surveillance ». Comment peut-on situer la police au sein de cette économie des institutions du « système répressif étatique » s’établissant à l’époque dite des Temps Modernes ? Après avoir tenté de mettre en lumière le caractère spécifique de la police, nous avons tenté de situer la perspective épistémologique que recouvre ce concept politique vis-à-vis du phénomène de la surveillance telle que M. Foucault l’a développée, tout particulièrement dans Surveiller et Punir. Notre projet vise à montrer que la pensée politique, par définition pratique, crée et est traversée par des « dispositifs de pouvoir » qu’elle met elle-même en place, via ses institutions, à des fins d’administration d’une population qu’elle se doit de gouverner. Tout un art donc. Et comme tout art, elle vit de règles et survit à ses exceptions, qui sont peut-être autant de moteurs aux transformations essentielles à toutes ses dynamiques politique et sociale.
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