La répression du déni de génocide : Quels outils les droits pénaux européen et international fournissent-ils contre le déni de génocide, quelles en sont les traductions en droit belge et quelles sont les extensions possibles pour l'avenir ?
Sferruggia, Marie
Promoteur(s) : Flore, Daniel
Année académique : 2022-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/16946
Détails
Titre : | La répression du déni de génocide : Quels outils les droits pénaux européen et international fournissent-ils contre le déni de génocide, quelles en sont les traductions en droit belge et quelles sont les extensions possibles pour l'avenir ? |
Auteur : | Sferruggia, Marie |
Promoteur(s) : | Flore, Daniel |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] Déni de génocide, négationnisme, liberté d'expression, mémoire collective, Internet. |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Droit européen & international |
Public cible : | Autre |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en droit, à finalité spécialisée en droit privé |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Le dessein de ce présent travail de fin d’études est de mettre en exergue la problématique capitale de la répression du déni de génocide. Cette entreprise se déclinera en quatre parties substantielles.
La première partie vise à éclairer la lutte contre le déni de génocide à la lumière du droit pénal international et européen. Nous entamerons cette partie en dressant la liste des différents outils servant ce combat à l’aide d'exemples concrets de jurisprudence.
La seconde partie se concentrera sur une observation plus approfondie des instruments réprimant le déni de génocide dans notre pays. Nous mobiliserons, à cet effet, quelques grandes législations ayant marqué le paysage juridique belge afin d'évaluer leurs impacts.
La troisième partie sera le moment de soulever, en guise de conclusion intermédiaire, une interrogation essentielle : fut-il vraiment impérieux de criminaliser le déni de génocide ?
La quatrième et dernière partie s’attellera à étudier les extensions possibles pour l’avenir. Adoptant une vision prospective à double facette, nous analyserons d'une part l'impact actuel et futur d'Internet sur la répression du déni de génocide, et d'autre part, nous tenterons de formuler des alternatives à la criminalisation dans le but de préserver la mémoire collective.
Enfin, nous conclurons en rappelant la place du droit pénal à l’égard de cette thématique.
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