Comment comprendre l'écart de genre parmi les incubés du VentureLab?
Maillien, Lucye
Promotor(s) : Beuker, Laura
Date of defense : 21-Jun-2023/28-Jun-2023 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/17130
Details
Title : | Comment comprendre l'écart de genre parmi les incubés du VentureLab? |
Author : | Maillien, Lucye |
Date of defense : | 21-Jun-2023/28-Jun-2023 |
Advisor(s) : | Beuker, Laura |
Committee's member(s) : | Claro, Mona
Bonvissuto, Aude |
Language : | French |
Number of pages : | 67 |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Sociology & social sciences |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences du travail, à finalité approfondie |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences Sociales |
Abstract
[fr] Depuis sa création en 2014, le VentureLab a accompagné 930 jeunes entrepreneurs soit 500 projets au total, dans des domaines d’activités variés. Parmi ces personnes, nous observons que 70% d’entre eux sont des hommes. Cela signifie qu’en 2021, il n’y a que 30 % de femmes qui ont été accompagnées par la structure. L’objectif de notre étude est alors de comprendre les freins à l’entrepreneuriat chez les jeunes étudiantes du Pôle Liège - Luxembourg.
Pour cela, nous avons mis au point une méthodologie de recherche en deux temps. Nous avons débuté par la réalisation d’un questionnaire en ligne, à destination de tous les étudiants du Pôle. Les réponses recueillies n’ayant pas répondu à l’ensemble des questions que nous nous posions, nous avons interviewé 10 Jeunes Entrepreneurs du VentureLab et 4 Entrepreneurs en Résidence (coachs).
Une fois nos données recueillies, nous les avons analysées avec nos outils théoriques. Il nous a été permis de comprendre que, contrairement à notre hypothèse, ce n'est pas grâce aux rôles modèles féminins que les étudiantes entreprennent. En effet, elles sont parvenues à trouver des sources d’inspiration ailleurs et, notamment, auprès de rôles modèles masculins. Cependant, le fait qu’elles estiment manquer de connaissances/ d’expérience pour entreprendre peut expliquer l’écart de genre chez les incubés. Il ressort qu’elles ont, pour la plupart, souffert (ou souffrent encore) du syndrome de l’imposteur.
Pour finir, nous avons procédé à une prise de recul sur l’ensemble du travail ainsi que suggéré d’éventuels prolongements à notre étude.
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