Director’s cut : la quête auteuriste du cinéaste
Thyse, Hugo
Promoteur(s) : Tomasovic, Dick
Date de soutenance : 19-jui-2023/24-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17185
Détails
Titre : | Director’s cut : la quête auteuriste du cinéaste |
Auteur : | Thyse, Hugo |
Date de soutenance : | 19-jui-2023/24-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Tomasovic, Dick |
Membre(s) du jury : | Belloi, Livio
Mélon, Marc-Emmanuel |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 112 |
Mots-clés : | [fr] Director’s cut [fr] Final cut [fr] Version longue [fr] Special edition [fr] Remastérisation [fr] Cinéaste [fr] Réalisateur [fr] Style auteuriste [fr] Politique des auteurs [fr] Kingdom of Heaven [fr] The Abyss [fr] Star Wars [fr] Blade Runner [fr] Superman II [fr] Justice League |
Discipline(s) : | Arts & sciences humaines > Arts du spectacle |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Grand public |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en arts du spectacle, à finalité spécialisée en cinéma et arts de la scène (histoire, esthétique et production) |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres |
Résumé
[fr] La notion du director’s cut, pouvant être traduite littéralement par « montage du réalisateur », s’inscrit dans une logique de commercialisation des versions alternatives d’un même film. Cependant, comme le sous-entend cette dénomination, l’élaboration d’une telle version semble être issue d’une volonté qui est avant tout artistique et non commerciale, au contraire du phénomène similaire des versions longues. Sa finalité serait la réhabilitation de la vision originale de son cinéaste, voire la résurgence de son style auteuriste, ce qui révèle implicitement que la version cinéma n’est pas ou n’est plus en accord avec ses ambitions artistiques. Sur base de plusieurs études de cas, telles que Blade Runner de Ridley Scott, Superman II de Richard Donner et Justice League de Zack Snyder, la notion du director’s cut sera examinée afin de déterminer en quoi le geste de reprise initié par le cinéaste permet d’aboutir à un tel résultat et, in fine, répondre à la question à l’origine de ce mémoire : de quelle manière la pratique du director’s cut peut-elle être articulée à la notion d’auteur, au-delà de sa simple finalité commerciale ?
Fichier(s)
Document(s)
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.