La paratuberculose bovine : de la transmission à la prévention
Barritault, Justine
Promoteur(s) : Cassart, Dominique
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17382
Détails
Titre : | La paratuberculose bovine : de la transmission à la prévention |
Titre traduit : | [fr] Bovine paratuberculosis : from transmission to prevention |
Auteur : | Barritault, Justine |
Date de soutenance : | 29-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Cassart, Dominique |
Membre(s) du jury : | Delguste, Catherine
Desmecht, Daniel Garigliany, Mutien-Marie Antoine, Nadine Toppets, Vinciane |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 53 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Public cible : | Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La paratuberculose est une entérite chronique causée par Mycobacterium avium ssp paratuberculosis qui touche principalement les bovins de la filière laitière. La particularité de cette maladie est que les animaux s’infectent lors de leurs premiers mois de vie et ne développent des signes cliniques qu’une fois adultes. Les veaux s’infectent le plus souvent par voie orale, via des matières fécales, du lait ou du colostrum contaminés. Il existe d’autres moyens de transmission à ne surtout pas négliger notamment lors la mise en place d’un plan de lutte. Cette entérite se révèle être un véritable défi quand il s’agit de la diagnostiquer. Elle nécessite la réalisation d’une combinaison de tests de manière répétée, si nous voulons obtenir un résultat le plus fiable possible. Du fait de la grande résistance de la bactérie dans l’environnement, de multiples substrats peuvent être contaminés et de nombreuses mesures seront à prendre pour tenter de diminuer la prévalence dans un troupeau. Il est parfois difficile pour l’éleveur de rester motivé lors de la mise en place d’un plan de lutte. Cependant, des stratégies existent pour réduire cette prévalence, en mettant en place des campagnes de testage et d’abattage avec, en parallèle, des mesures zootechniques visant à réduire le contact des veaux avec la bactérie. De nouvelles stratégies prometteuses pourraient être une véritable aide à ajouter aux techniques déjà utilisées actuellement comme l’étude de gènes de résistance, la vaccination ou l’élaboration de tests diagnostiques plus précoces.
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