Étude rétrospective de l'utilisation d'analogues nucléosidiques dans le traitement de la péritonite infectieuse féline
Vandy, Orphée
Promoteur(s) : Ludwig-Begall, Louisa
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17555
Détails
Titre : | Étude rétrospective de l'utilisation d'analogues nucléosidiques dans le traitement de la péritonite infectieuse féline |
Titre traduit : | [fr] Retrospective study of the use of nucleoside analogues in the treatment of feline infectious peritonitis |
Auteur : | Vandy, Orphée |
Date de soutenance : | 29-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Ludwig-Begall, Louisa |
Membre(s) du jury : | Linden, Annick
Humblet, Marie-France |
Langue : | Français |
Mots-clés : | [fr] Titre final, objectif et résumé du travail |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Intitulé du projet de recherche : | Étude rétrospective de l'utilisation d'analogues nucléosidiques dans le traitement de la péritonite infectieuse féline |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Le Coronavirus félin est connu depuis des décennies dans la communauté scientifique et principalement en médecine vétérinaire. Comme tous les coronavirus, il a effectué de nombreuses mutations dont les principales connues sont la forme Feline Enteric CoronaVirus (FECV) non pathogène et la Feline Infectious Peritonitis Virus (FIPV) qui est la forme la plus grave. Il n'y a actuellement aucun traitement curatif au FIPV. Et l'homologie génétique entre FIPV et FECV est tellement similaire qu'il n'y a actuellement aucun test validé et officiel pour les différencier. Le temps d'incubation peut-être de quelques jours à plusieurs mois, et l'évolution de maladie dure entre 2 à 5 semaines. Elle commence par des signes peu spécifiques rendant encore plus difficile le diagnostic précoce et le taux de mortalité de cette maladie est de pratiquement 100%.
Dans la conjoncture actuelle, il n'y a encore aucun traitement curatif approuvé par le milieu scientifique, mais de nombreuses études exposées dans ce travail montre un espoir de développer une voie thérapeutique, notamment via les molécules GS-441524 et GC376. Cependant, certaines inquiétudes se sont imposés dans les nombreuses découvertes. Le FCoV étant un virus à ARN à grand génome, ayant pour conséquence un au taux de mutation, la crainte de l'émergence de nouvelles recombinaisons virales n'est absolument pas à écarter. Il y a également encore beaucoup de faiblesses quant à ces antiviraux nouvellement trouvés, notamment la mauvaise diffusion dans certains tissus, rendant certains organes infectés faiblement atteints par ces molécules.
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