Approche asymptotique de l'analyse critique des structures à assemblages semi-rigides
Crahay, Romain
Promotor(s) : Denoël, Vincent
Date of defense : 26-Jun-2023/27-Jun-2023 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/17592
Details
Title : | Approche asymptotique de l'analyse critique des structures à assemblages semi-rigides |
Author : | Crahay, Romain |
Date of defense : | 26-Jun-2023/27-Jun-2023 |
Advisor(s) : | Denoël, Vincent |
Committee's member(s) : | Demonceau, Jean-François
Geuzaine, Margaux Bodson, Romain |
Language : | French |
Number of pages : | 90 |
Keywords : | [fr] Méthode des perturbations [fr] Analyse critique des structures [fr] Assemblages semi-rigides [fr] Classification des assemblages [fr] Rigidité en rotation |
Discipline(s) : | Engineering, computing & technology > Civil engineering |
Target public : | Researchers Professionals of domain Student General public |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en ingénieur civil des constructions, à finalité spécialisée en "civil engineering" |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences appliquées |
Abstract
[fr] Lorsqu'on dimensionne une structure, il est d'usage de faire l'approximation que les assemblages présents dans le modèle sont soit articulés, soit infiniment rigides pour pouvoir utiliser les méthodes de calcul élastique linéaire. La classification par rigidité des assemblages se fait selon des critères très restrictifs et plutôt approximatifs décrits dans l'Eurocode 3. Ces critères restrictifs font qu'il est courant que des assemblages semi-rigides doivent être renforcés pour répondre aux critères inscrits dans les normes alors que leur rigidité telle qu'elle est, est plus que suffisante pour la stabilité de la structure. Ajoutons à cela que le calcul des structures à assemblages semi-rigides est une tâche ardue qui rend souvent les praticiens réticents à prendre en compte cette semi-rigidité dans leur analyse. L'utilisation des assemblages semi-rigides est très rare alors qu'elle pourrait entraîner un gain de matériaux, de temps et d'argent considérable. Dans une époque où les exigences en matière de bilan carbone n'ont jamais été aussi strictes, la moindre économie d'acier est donc bonne à prendre. C'est pour ces quelques raisons que nous avons, dans un premier temps, développé une méthode qui vise à démystifier le calcul des structures à assemblages semi-rigides en présentant une formule claire et facile d'utilisation. Et dans un deuxième temps, nous avons élaboré une proposition d'un nouveau critère de classification par rigidité des assemblages moins restrictif qui s'adapte aux spécificités de chaque structure.
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