Étude des méthodes de prévention et de gestion des rétentions d'arrière-faix par les vétérinaires praticiens
Wilmotte, Hugo
Promoteur(s) : Bayrou, Calixte
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17823
Détails
Titre : | Étude des méthodes de prévention et de gestion des rétentions d'arrière-faix par les vétérinaires praticiens |
Titre traduit : | [en] Methods of prevention and management of retained fetal membranes by veterinarian practitioners: a survey study |
Auteur : | Wilmotte, Hugo |
Date de soutenance : | 29-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Bayrou, Calixte |
Membre(s) du jury : | Sartelet, Arnaud
Martinelle, Ludovic Rollin, Fr�d�ric |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 60 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Grâce à mon questionnaire, j’ai pu en apprendre davantage sur les différentes approches de gestion des rétentions d’arrière-faix auprès de 34 vétérinaires exerçant en Belgique, en France et en Suisse. J’ai comparé leurs façons de faire à la littérature et j’ai constaté plusieurs éléments intéressants. En effet, il est surprenant de constater que 47,1% des éleveurs ne sont pas motivés à effectuer des examens complémentaires pour identifier les potentielles causes de la rétention placentaire, alors que cette maladie engendre des complications qui ont un coût moyen estimé, aux Etats-Unis, entre US$ 350.4 et US$ 481.2. J’ai également relevé une grande variabilité dans les choix des traitements et des mesures de prévention des RAF. Même lorsque plusieurs vétérinaires travaillent ensemble, chacun fait à sa manière, ce qui témoigne d’un manque de consensus dans la gestion de cette maladie. Par exemple, 47,1% des vétérinaires utilisent des anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS). En ce qui concerne les antibiotiques, 52,9% utilisent un antibiotique systémique, 70,6% utilisent des antibiotiques locaux administrés par voie intra-utérine, et 38,2% utilisent les deux simultanément. Cette absence de consensus thérapeutique m’a incité, en m’appuyant sur la littérature, à rechercher les meilleurs moyens de gestion de la rétention placentaire à l’heure actuelle.
[en] Thanks to my questionnaire, I was able to find out more about the different approaches to managing placental retentions from 34 veterinarians practitioners in Belgium, France and Switzerland. I compared their methods with the literature and found a number of interesting points. It was surprising to find that 47.1% of breeders were not motivated to carry out additional examinations to identify the potential causes of retained placenta, despite the fact that the average cost in the United States was estimated at between US$ 350.4 and US$ 481.2. I also found great variability in the choice of treatments and measures to prevent placental retention. Even when several vets work together, each does things in his or her own way, indicating a lack of consensus in the management of this disease. For example, 47.1% of vets use non-steroidal anti-inflammatory drugs (NSAIDs). When it comes to antibiotics, 52.9% use a systemic antibiotic, 70.6% use local antibiotics administered intra-uterinally, and 38.2% use both systemic and local antibiotics. This lack of therapeutic consensus prompted me, based on the literature, to look for the best means of managing retained placenta at the present time.
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