La matière grasse dans l'alimentation bovine : recherche du meilleur compromis entre l'animal, l'environnement et la santé du consommateur
Perreaux, Clément
Promoteur(s) : Rollin, Fr�d�ric
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17901
Détails
Titre : | La matière grasse dans l'alimentation bovine : recherche du meilleur compromis entre l'animal, l'environnement et la santé du consommateur |
Titre traduit : | [fr] Fat in cattle feed: finding the best compromise between animal, environment and consumer health |
Auteur : | Perreaux, Clément |
Date de soutenance : | 29-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Rollin, Fr�d�ric |
Membre(s) du jury : | Bayrou, Calixte
Sartelet, Arnaud Martinelle, Ludovic |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 42 |
Mots-clés : | [fr] Matière grasse [fr] Supplémentation [fr] Bovin [fr] Environnement [fr] Production [fr] Santé humaine |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La production de viande et de lait par les bovins suscite beaucoup de débats tant au niveau environnemental avec la production de CH4 qu’au niveau de la santé humaine, avec des denrées alimentaires riches en acides gras saturés notamment incriminés dans les maladies cardio-vasculaires. L’apport de MG dans la ration des bovins est connue pour influencer les émissions de CH4 et le profil en acides gras du lait et de la viande, mais également pour pouvoir affecter la digestion et la production de l’animal. Dans ce travail, l’influence de la supplémentation lipidique sur ces différents aspects a été étudiée. Il en ressort que la supplémentation en graine de lin de manière à arriver à une ration contenant environ 6% de MG permettrait de conserver la production de l’animal, augmenter l’efficience alimentaire et améliorer le profil en acides gras du lait et de la viande, en diminuant le taux d’acides gras saturés et en augmentant le taux d’oméga-3, notamment. L’effet sur les émissions de CH4 est plus nuancé, avec une probable diminution globale mais qui semble faible une fois les émissions supplémentaires des effluents prises en compte.
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