Les hépatites chroniques chez le chien : comparaison des données de la littérature à celles d'une étude rétrospective réalisée à la clinique vétérinaire universitaire de Liège
Duhamel, Sarah
Promoteur(s) : Peeters, Dominique
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17945
Détails
Titre : | Les hépatites chroniques chez le chien : comparaison des données de la littérature à celles d'une étude rétrospective réalisée à la clinique vétérinaire universitaire de Liège |
Titre traduit : | [en] Chronic hepatitis in dogs : comparison of the literature data to a retrospective study from the university veterinary clinic of Liege |
Auteur : | Duhamel, Sarah |
Date de soutenance : | 29-jui-2023 |
Promoteur(s) : | Peeters, Dominique |
Membre(s) du jury : | Claeys, Stephanie
Busoni, Valeria |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 50 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La comparaison entre les données de la littérature et une étude rétrospective réalisée à la clinique vétérinaire universitaire de Liège permettent de mettre en avant les principales caractéristiques des hépatites chroniques chez le chien. La plupart des conclusions sont similaires. Certaines races sont prédisposées comme le Bedlington terrier, le Doberman Pinscher, le Cocker Spaniel Anglais, le Labrador Retriever … On constate tout de même de plus en plus l’existence de cette maladie à d’autres races. Même si un diagnostic d’hépatite chronique idiopathique est le plus souvent posé, certaines causes comme une surcharge en cuivre dans les hépatocytes ou la prise continue de médicaments hépatotoxiques sont parfois détectées. Il est difficile de diagnostiquer cette maladie en raison des signes cliniques non spécifiques et variés. L’animal est souvent léthargique, présente des signes gastro-intestinaux et sa biochimie est modifiée. L’analyse histopathologique est le seul outil diagnostic de certitude. Face à une cause souvent inconnue, le traitement est essentiellement symptomatique. Le pronostic de la maladie est la plupart du temps réservé, voir sombre car elle est décelée trop tardivement et les lésions deviennent irréversibles.
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