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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Comparaison des techniques d'imagerie médicale pour le diagnostic des tumeurs gastriques chez le chien et le chat

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Berger, Sarah ULiège
Promoteur(s) : Busoni, Valeria ULiège
Date de soutenance : 29-jui-2023 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/17957
Détails
Titre : Comparaison des techniques d'imagerie médicale pour le diagnostic des tumeurs gastriques chez le chien et le chat
Titre traduit : [en] Comparison of medical imaging techniques for the diagnosis of gastric neoplasia in dogs and cats
Auteur : Berger, Sarah ULiège
Date de soutenance  : 29-jui-2023
Promoteur(s) : Busoni, Valeria ULiège
Membre(s) du jury : Claeys, St�phanie ULiège
Peeters, Dominique ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 39
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] Les tumeurs gastriques sont rares chez le chien et le chat mais la détection des cas
augmente avec l’utilisation de techniques diagnostiques plus précises.
En comparant la radiographie, l’échographie et le scanner, on se rend compte qu’une seule
technique ne suffit pas à faire le diagnostic de tumeur gastrique.
La radiographie est l’appareil le plus répandu dans les cabinets vétérinaires mais n’est pas
très sensible pour le diagnostic des tumeurs gastriques.
En revanche, l’échographie est la technique idéale car elle est non-invasive, très répandue
dans les cabinets et peut se faire sur animal alerte. Elle permet d’examiner l’entièreté de
l’abdomen en plus de l’estomac, c’est-à-dire les organes péri-gastriques ainsi que les nœuds
lymphatiques. En cas de masse ou d’épaississement de la paroi gastrique, une ponction à
l’aiguille fine échoguidée permet de confirmer ou infirmer l’hypothèse néoplasique.
Le scanner, quant à lui, est uniquement présent dans les grandes structures vétérinaires et
doit se faire sous anesthésie générale. Toutefois, il permet une visualisation du corps entier
du patient ce qui est très utile pour le dépistage des métastases. Il décèle également des
masses de plus petites tailles que l’échographie et les localise plus précisément.
La présentation d’un animal avec des signes gastro-intestinaux chroniques tels que des
vomissements et une perte de poids doit motiver le clinicien à faire des examens
complémentaires et notamment de l’imagerie.


Fichier(s)

Document(s)

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Access BERGER_Sarah_TFE_FMV_juin2023_provisoire.pdf
Description:
Taille: 297.35 kB
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Access BERGER_Sarah_TFE_FMV_juin2023_définitif.pdf
Description:
Taille: 847.23 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Berger, Sarah ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Claeys, St�phanie ULiège Université de Liège - ULiège > Dépt d'Ens. et de Clinique des animaux de Compagnie (DCC) > Chirurgie des animaux de compagnie
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Peeters, Dominique ULiège Université de Liège - ULiège > Dépt d'Ens. et de Clinique des animaux de Compagnie (DCC) > Médecine interne des animaux de compagnie
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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