Métacognition dans la petite enfance
Counasse, Célia
Promoteur(s) : Geurten, Marie
Date de soutenance : 23-jan-2024/26-jan-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/19468
Détails
Titre : | Métacognition dans la petite enfance |
Titre traduit : | [fr] Métacognition dans la petite enfance |
Auteur : | Counasse, Célia |
Date de soutenance : | 23-jan-2024/26-jan-2024 |
Promoteur(s) : | Geurten, Marie |
Membre(s) du jury : | Rousselle, Laurence
Bastin, Christine |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 72 |
Mots-clés : | [fr] Métacognition [fr] petite enfance |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] La métacognition est le processus par lequel l’homme surveille et régule ses performances cognitives (Flavell, 1976).
De nombreuses études antérieures ont évoqué une apparition plutôt tardive des compétences métacognitives chez l’enfant (Ghetti, 2008; Lockl & Schnider, 2002).
En revanche, des études plus récentes suggèrent un développement précoce des capacités métacognitives implicites et une apparition plus tardive des capacités explicites (Geurten & Bastin, 2019, Goupil et al., 2016).
L’objectif principal de ce mémoire était d’explorer, de manière transversale, les changements intervenant au niveau de la métacognition, tout au long de la petite enfance (c’est-à-dire, entre 24 et 36 mois) en créant un paradigme expérimentale adéquat rendant possible la comparaison entre les différents âges.
Pour ce faire, 51 enfants appartenant à trois tranches d’âge différentes (24,30,36 mois) ont été testé à l’aide d’une tâche de mémoire nouvellement créée.
Avec cette tâche, nous avons essayé de déterminer l’existence d’éventuels changements de capacités métacognitives à l’aide d’un paradigme implicite qui est le nombre de regards portés par l’enfant vers l’expérimentateur avant et après avoir donné sa réponse.
Enfin, un autre objectif était la détection d’une possible existence de relation entre le fonctionnement exécutif et la métacognition.
Les résultats de l’étude ne montrent aucune différence dans les changements de capacités métacognitives entre les différents groupes d’âge. De plus, la relation entre le fonctionnement exécutif et la métacognition n’a pas pu être établie.
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