Succession 2.0 : la transmission entre vifs ou à cause de mort des cryptoactifs et des données numériques personnelles
Badot, Cristina
Promoteur(s) : Moreau, Pierre
Année académique : 2023-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/19633
Détails
Titre : | Succession 2.0 : la transmission entre vifs ou à cause de mort des cryptoactifs et des données numériques personnelles |
Auteur : | Badot, Cristina |
Promoteur(s) : | Moreau, Pierre |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 51 |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Droit civil |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants Grand public Autre |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en droit, à finalité spécialisée en droit privé |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Ce travail porte sur la succession des cryptoactifs et des données personnelles d’une
personne.
Il sera divisé en deux parties.
La première partie aura trait aux cryptoactifs. Elle sera divisée en deux chapitres. Dans le
chapitre premier, nous commencerons par définir différentes notions (cryptoactifs,
cryptomonnaies, jetons non fongibles et blockchain), afin d’aider le lecteur à mieux
comprendre les notions utilisées. Ensuite, nous nous demanderons quelle sera la nature
juridique des cryptoactifs et si leur acquisition confère le droit de propriété. Dans le second
chapitre, nous entrerons dans le vif du sujet en analysant la succession des cryptoactifs en
droit belge.
La deuxième partie traitera des données personnelles. Elle sera divisée en trois chapitres. Le
premier chapitre permettra une meilleure compréhension de la notion de données. Après en
avoir donné une définition, nous tenterons de différencier certains concepts (données
digitales, fichier de données, support de données) confondus à tort. Comme pour la partie
afférente aux cryptoactifs, nous nous poserons la question de la nature juridique des données
personnelles, question à laquelle il n’y a pas de réponse évidente. Dans le deuxième chapitre,
nous analyserons la dévolution légale belge à l’aune de l’arrêt allemand du 12 juillet 2018
rendu par la Bundesgerichtshof, appelé de manière non officielle « arrêt Facebook ». Par
après, nous nous demanderons s’il est possible ou non de faire une libéralité de données
personnelles (ou plutôt de comptes en ligne). Enfin, nous terminerons par le troisième et
dernier chapitre de cette partie. Il s’agira d’étudier brièvement des actes législatifs (américain,
français et italien) qui ont su reconnaître et consacrer l’hérédité de données numériques.
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