Mémoire de fin d'études: "Le musée Royal de Mariemont : Histoire des projets 1961-1986".
Robert, Elisa
Promoteur(s) : Houbart, Claudine ; Cohen, Maurizio
Année académique : 2023-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/19684
Détails
Titre : | Mémoire de fin d'études: "Le musée Royal de Mariemont : Histoire des projets 1961-1986". |
Titre traduit : | [en] The Royal Museum of Mariemont : Project history 1961-1986 |
Auteur : | Robert, Elisa |
Promoteur(s) : | Houbart, Claudine
Cohen, Maurizio |
Membre(s) du jury : | Groaz, Silvia
Veymiers, Richard |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 257 |
Mots-clés : | [fr] Musée Royal de Mariemont [fr] Architecture [fr] Roger Bastin [fr] Charles Gauquié [fr] Polémique [fr] Projets successifs |
Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Architecture |
Commentaire : | Pour une lecture optimale, veillez à ouvrir le document en double page. |
Public cible : | Chercheurs Professionnels du domaine Etudiants |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
Faculté : | Mémoires de la Faculté d'Architecture |
Résumé
[fr] Le début de la fonction muséale du domaine de Mariemont démarre en 1917 au décès de Raoul Warocqué. Ce riche industriel lègue à l’état belge le domaine de Mariemont, incluant le parc, le château et les collections qu’il abrite. Le 25 décembre 1960, un incendie voit le château-musée complètement détruit. Il est dès lors nécessaire d’ériger un nouveau bâtiment muséal.
L’abondance de projets proposés, dès 1961, par différents architectes afin de reconstruire le musée prouve qu’il n’y a pas une solution évidente face à un programme de cette envergure. Dans un premier temps, il est envisagé de le réédifier à l’identique. Il est, en fin de compte, décidé d’opter pour une architecture moderne. C’est l’architecte privé Roger Bastin, dont le conservateur du musée admire la finesse de l’adaptation des interventions aux sites dans lesquels elles s’implantent, qui est finalement désigné pour travailler de pair avec Charles Gauquié, architecte des travaux publics.
Le volume du bâtiment est réfléchi en fonction de son impact au sol et en élévation par rapport aux arbres alentours, avec une attention particulière sur la continuité entre l’extérieur et l’intérieur du bâtiment. Cette réflexion sur l’incidence extérieur du musée sur son environnement a cependant peut-être contraint à devoir limiter la capacité intérieure de l’institution.
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