Mémoire en science politique[BR]- "Comment les acteurs belges, notamment les décideurs politiques, les parlementaires et les universitaires spécialisés en sinologie, perçoivent-ils le soft power chinois, en particulier à travers les Instituts Confucius en Belgique ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Nsengumukiza, Prudence
Promoteur(s) : Lika, Liridon
Date de soutenance : 4-jui-2024/28-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/19993
Détails
Titre : | Mémoire en science politique[BR]- "Comment les acteurs belges, notamment les décideurs politiques, les parlementaires et les universitaires spécialisés en sinologie, perçoivent-ils le soft power chinois, en particulier à travers les Instituts Confucius en Belgique ?"[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
Auteur : | Nsengumukiza, Prudence |
Date de soutenance : | 4-jui-2024/28-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Lika, Liridon |
Membre(s) du jury : | Florence, Eric
Riga, Dealan |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 65 |
Discipline(s) : | Droit, criminologie & sciences politiques > Sciences politiques, administration publique & relations internationales |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences politiques, orientation générale |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Résumé
[fr] Cette recherche explore la perception du soft power chinois par les acteurs belges, avec un accent particulier sur le rôle des Instituts Confucius en Belgique. Le soft power, concept développé par Joseph Nye, désigne la capacité d'un pays à influencer et à attirer d'autres nations par des moyens culturels et idéologiques plutôt que par la coercition. En Belgique, les Instituts Confucius, financés par le gouvernement chinois, jouent un rôle central dans la diffusion de la langue et de la culture chinoises. Cette étude se concentre sur les points de vue des décideurs politiques, des parlementaires et des universitaires spécialisés en sinologie pour comprendre comment ces institutions sont perçues en termes de diplomatie culturelle et d'influence. Les résultats montrent une diversité d'opinions, allant de la reconnaissance des avantages culturels et éducatifs à des préoccupations concernant l'influence politique et les implications pour l'autonomie académique. Cette analyse contribue à une meilleure compréhension des dynamiques de soft power en Europe et des stratégies chinoises pour renforcer son image et son influence à l'étranger.
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