Les territoires protégés privés peuvent-ils préserver la faune menacée par la déforestation ? Étude dans le parc Ambue Ari, Bolivie, par l'utilisation de pièges photographiques
Sellam Ouel Haj, Kamilia
Promoteur(s) : Antoine-Moussiaux, Nicolas
Date de soutenance : 28-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20670
Détails
Titre : | Les territoires protégés privés peuvent-ils préserver la faune menacée par la déforestation ? Étude dans le parc Ambue Ari, Bolivie, par l'utilisation de pièges photographiques |
Titre traduit : | [fr] Can private protected areas safeguard wildlife threatened by deforestation? A study in Ambue Ari Park, Bolivia, using camera traps |
Auteur : | Sellam Ouel Haj, Kamilia |
Date de soutenance : | 28-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Antoine-Moussiaux, Nicolas |
Membre(s) du jury : | Farnir, Frédéric
Hornick, Jean-Luc Scippo, Marie-Louise Garigliany, Mutien-Marie Jauniaux, Thierry Clinquart, Antoine |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 45 |
Mots-clés : | [fr] bolivie [fr] déforestation [fr] biodiversité [fr] animaux [fr] aires protégées |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Productions animales & zootechnie |
Organisme(s) subsidiant(s) : | CIWY |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La Bolivie subit une déforestation importante s’aggravant au fil du temps, ayant des conséquences socio-économiques et écologiques néfastes, notamment sur la biodiversité. L’installation d’aires protégées publiques fut un des moyens mis en place pour limiter cette perte, mais manquant de monitoring, il est difficile d’évaluer précisément son évolution. Cependant, l’utilisation de divers indices de biodiversité via la mise en place de pièges photographiques permet une évaluation du territoire. Le parc Ambue Ari, dans lequel les pièges photographiques ont été placés, est un refuge pour animaux issus du trafic animalier et se trouve au confluent de zones très fortement touchées par la déforestation. Les caméras ont été placées à divers points du parc entre novembre 2023 et février 2024, totalisant 175 jours de capture de données. L’étude a ainsi permis d’une part de mettre en parallèle les données récoltées avec la littérature via le calcul du Relative Abundance Index (RAI), et d’autre part de comparer les différentes zones écologiques du parc via le modèle d’occupation.
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