Le carcinome à cellules transitionnelles chez le chien : épidémiologie, pathophysiologie et étude rétrospective des données épidémiologiques et cliniques de la CVU de Liège
Zabiego, Myriam
Promoteur(s) : Jauniaux, Thierry
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20693
Détails
Titre : | Le carcinome à cellules transitionnelles chez le chien : épidémiologie, pathophysiologie et étude rétrospective des données épidémiologiques et cliniques de la CVU de Liège |
Titre traduit : | [en] Canine transitional cell carcinoma : epidemiology, pathophysiology and retrospective analysis of epidemiological and clinical data from Liege veterinary clinic |
Auteur : | Zabiego, Myriam |
Date de soutenance : | 27-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Jauniaux, Thierry |
Membre(s) du jury : | de Meeûs d'Argenteuil, Constance
Gabriel, Annick Grobet, Luc Vandenput, Sandrina |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 35 |
Mots-clés : | [fr] carcinome à cellules transitionnelles [fr] vessie [fr] chien |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Le carcinome à cellules transitionnelles est la tumeur vésicale la plus fréquente chez le chien. De nombreux facteurs prédisposants génétiques et environnementaux ont été décrits : la race, le sexe, le statut reproducteur et l’état d’embonpoint en font partie. La pathogenèse de cette tumeur implique de nombreux gènes comme le gène BRAF faisant partie de la voie des Mitogen Activated Protein Kinases (MAPK), mais aussi le gène codant pour la prostaglandine E2. Ces mutations sont responsables du caractère plus ou moins invasif de la tumeur, qui peut être objectivé via analyse et gradation histopathologique.
L’étude rétrospective des données épidémiologiques et cliniques de carcinomes à cellules transitionnelles de la vessie chez 73 chiens de 2013 à 2023 permet de comparer les résultats de la Clinique Vétérinaire Universitaire avec les données issues de la littérature et de montrer des similitudes mais également des différences entre la littérature et les données obtenues lors de l’étude. Certains biais rencontrés lors de l’étude présente, notamment le manque de données anamnestiques et relatives au signalement de l’animal, peuvent être aisément corrigés par un dossier plus complet lors de l’admission des animaux à la Clinique Vétérinaire Universitaire de Liège. D’autres biais, dépendant des finances des propriétaires, sont plus compliqués à éviter.
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