Le diagnostic des maladies aérodigestives chez le chien : l'apport de la médecine humaine dans la pratique vétérinaire
Simon, Clara
Promoteur(s) : Clercx, Cécile
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20711
Détails
Titre : | Le diagnostic des maladies aérodigestives chez le chien : l'apport de la médecine humaine dans la pratique vétérinaire |
Auteur : | Simon, Clara |
Date de soutenance : | 27-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Clercx, Cécile |
Membre(s) du jury : | Billen, Frederic
Bolen, Geraldine |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Ce travail a pour but de synthétiser les dernières informations disponibles dans la littérature vétérinaire concernant les maladies aérodigestives chez les chiens. Pour les diagnostiquer, il est important de connaitre leurs étiologies, d’identifier les divers troubles qui en sont responsables, mais également connaitre les prédispositions existantes dans l’espèce canine. Il existe des similitudes, chez l’Homme et chez le chien, aussi bien dans l’anatomie que dans la physiologie de la déglutition, mais aussi dans les divers troubles aérodigestifs qu’ils présentent. Ces similitudes permettent de translater ce qui est valable en médecine humaine vers la pratique vétérinaire. Lors de l’anamnèse, tout signe clinique faisant penser à un de ces troubles aérodigestifs doit pousser le vétérinaire à les inclure dans son diagnostic différentiel. Afin de confirmer, ou d’exclure, ces maladies aérodigestives, des examens complémentaires peuvent être réalisés. Ayant tous des spécificités, ils permettent de diagnostiquer des troubles différents, et seront donc sélectionnés en fonction de leurs disponibilités physiques. Les cabinets de première ligne peuvent utiliser la radiographie thoracique, l’essai thérapeutique ou encore l’endoscopie. Les cliniques de seconde ligne quant à elles, auront à leur disposition la vidéo-fluoroscopie de la déglutition, considérée comme le test gold standard lors de dysphagie. D’autres techniques se développent, venant toutes de la pratique humaine, comme la pH-impédancemétrie, le monitoring du pH, la manométrie œsophagienne haute résolution, les biomarqueurs de reflux et la scintigraphie du reflux. Ces techniques, en plus d’être encore au stade embryonnaire, sont onéreuses mais pourraient se retrouver un jour, en clinique vétérinaire.
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