La prise en charge des diverticules subarachnoïdiens chez le chien
Aachen, Jana
Promoteur(s) : Toppets, Vinciane
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20716
Détails
Titre : | La prise en charge des diverticules subarachnoïdiens chez le chien |
Auteur : | Aachen, Jana |
Date de soutenance : | 27-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Toppets, Vinciane |
Membre(s) du jury : | Delguste, Catherine
Desmecht, Daniel Garigliany, Mutien-Marie Antoine, Nadine |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Le diverticule subarachnoïdien est une pathologie neurologique relativement rare, diagnostiquée pour la première fois en 1968. Depuis lors, 324 cas ont été rapportés dans la littérature jusqu'à l’année 2020 mais ce nombre est probablement inférieur à la réalité. Dans ce travail, nous décrirons la pathogenèse des diverticules subarachnoïdiens et nous verrons comment la morphologie de certaines races de chiens influence la localisation des lésions au niveau de la colonne vertébrale. Nous aborderons la présentation clinique typique selon la position du diverticule au niveau de la moelle épinière et comment, sur base des signes cliniques, établir un diagnostic différentiel hiérarchisé des pathologies les plus courantes de la moelle épinière. Nous parlerons des méthodes de diagnostic ainsi que des facteurs pronostiques importants tels que l’âge de l’animal, le délai entre l’apparition des signes cliniques et la mise en place du traitement, le type de traitement et la présence d’éventuelles maladies concomitantes de la moelle épinière. En fonction du pronostic attribué à l’animal, nous établirons les options thérapeutiques : soit un traitement chirurgical ou soit un traitement médical sachant que le traitement chirurgical donne les meilleurs résultats post-traitement mais est également onéreux et incertain. D’autre part, ce traitement, pour être pleinement efficace, doit s’accompagner d’un nursing parfois lourd pour le propriétaire, suivi de séances de physiothérapie adaptées pour permettre une récupération plus rapide de l’animal.
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