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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Mémoire
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La cardiomyopathie hypertrophique héréditaire féline et humaine

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Mores, Estelle ULiège
Promoteur(s) : Druet, Tom ULiège
Date de soutenance : 24-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20729
Détails
Titre : La cardiomyopathie hypertrophique héréditaire féline et humaine
Titre traduit : [fr] Hereditary feline and human hypertrophic cardiomyopathy.
Auteur : Mores, Estelle ULiège
Date de soutenance  : 24-jui-2024
Promoteur(s) : Druet, Tom ULiège
Membre(s) du jury : Charlier, Carole ULiège
Farnir, Frédéric ULiège
Georges, Michel ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 40
Mots-clés : [fr] cardiomyopathie hypertrophique féline
[fr] cardiomyopathie hypertrophique humaine
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] La cardiomyopathie hypertrophique (CMH) héréditaire est la cardiomyopathie la plus courante chez l’homme et le chat. Dans les deux espèces, cette pathologie suit une mode de transmission autosomique dominant. Plus de mille-cinq-cents variants génétiques ont été identifiés chez l’homme contre seulement deux mutations causales dans la CMH féline. Il s’agit de la mutation A31P chez le Main Coon et R820W chez le Ragdoll, toutes deux présentent sur le gène MYBPC3 codant pour la protéine C de liaison à la myosine. Cette protéine permet la régulation de la contraction et de la relaxation des sarcomères, unité contractile du cœur. Le gène MYBPC3 et le gène MYH7, codant pour la chaine lourde de la myosine beta, sont les premiers gènes responsables de la CMH humaine à la suite de mutations. Des similitudes entre ces deux espèces, que ce soit en termes de génétique, de pathologie et de signes cliniques, sont constatées permettant d’envisager que le chat serait un meilleur modèle que les rongeurs. Une collaboration entre médecins et vétérinaires pourrait permettre l’avancée des découvertes liées à cette maladie encore à ce jour complexe, et d'élaborer ainsi qu’utiliser des traitements médicamenteux thérapeutiques pouvant être bénéfique pour les deux espèces.


Fichier(s)

Document(s)

File
Access MORES_Estelle_TFE_FMV_juin2024_définitif.pdf
Description:
Taille: 1.22 MB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Mores, Estelle ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Charlier, Carole ULiège Université de Liège - ULiège > Dpt. de gestion vétérinaire des Ressources Animales (DRA) > Dpt. de gestion vétérinaire des Ressources Animales (DRA)
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Farnir, Frédéric ULiège Université de Liège - ULiège > Dpt. de gestion vétérinaire des Ressources Animales (DRA) > Biostatistiques et bioinformatique appliquées aux sc. vétér.
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Georges, Michel ULiège Université de Liège - ULiège > Dpt. de gestion vétérinaire des Ressources Animales (DRA) > Génomique animale
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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