Gestion du carcinome à cellules squameuses buccal chez le chat
Beylot, Mélanie
Promoteur(s) : Hamaide, Annick
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20733
Détails
Titre : | Gestion du carcinome à cellules squameuses buccal chez le chat |
Titre traduit : | [en] Management of oral squamous cell carcinoma in cats |
Auteur : | Beylot, Mélanie |
Date de soutenance : | 27-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Hamaide, Annick |
Membre(s) du jury : | Etienne, Anne-Laure
Deleuze, Stefan |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 47 |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] La première partie de ce travail porte sur les caractéristiques et les facteurs de risque du carcinome à cellules squameuses buccal chez le chat. Cela donne un point d’attention sur les signes cliniques les plus fréquents, la représentation physique et les différents aspects que peuvent prendre cette tumeur ainsi que sur l’intérêt d’un examen buccal approfondi notamment lors de l’accumulation de plusieurs facteurs de risque. La présentation des différents types de traitements envisageables montre leur impact sur le temps médian de survie des chats et permet de connaître l’efficacité de ces derniers. Il en ressort de l’importance de pratiquer une chirurgie pour un traitement curatif de ce cancer.
La seconde partie consiste en une comparaison du même type de tumeur chez l’Homme. Ce qui permet de penser à de nouvelles possibilités de traitements non encore utilisées en médecine vétérinaire avec notamment l’utilisation de l’immunothérapie et des anticorps monoclonaux. Les recherches sur la pose d’un diagnostic précoce grâce à un frottis buccal en médecine humaine sont des études à suivre pour pouvoir éventuellement le mettre en place chez nos félins pour permettre un diagnostic plus simple de ce cancer.
Enfin la dernière partie permet de mettre en relation ce qui est énoncé dans la littérature et ce qui est fait en pratique notamment à la Clinique Vétérinaire Universitaire de Liège. Cela permet de mettre en avant ce qu’il est conseillé de faire et ce qui peut être appliqué.
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