La phytothérapie comme alternative efficace pour le traitement du syndrome de cushing chez les chevaux : mirage ou médecine d'avenir ?
Delahaye, Solène
Promoteur(s) : Cesarini Latorre, Carlota
Date de soutenance : 27-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20743
Détails
Titre : | La phytothérapie comme alternative efficace pour le traitement du syndrome de cushing chez les chevaux : mirage ou médecine d'avenir ? |
Titre traduit : | [en] PHYTOTHERAPY AS AN EFFECTIVE ALTERNATIVE FOR TREATING CUSHING'S SYNDROME IN HORSES: ILLUSION OR MEDICINE OF THE FUTURE? |
Auteur : | Delahaye, Solène |
Date de soutenance : | 27-jui-2024 |
Promoteur(s) : | Cesarini Latorre, Carlota |
Membre(s) du jury : | Serteyn, Didier
Amory, Hélène Evrard, Laurence |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en médecine vétérinaire |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire |
Résumé
[fr] Le syndrome de Cushing s’impose de plus en plus auprès des chevaux plus âgés, en effet, entre 20-25% des chevaux de plus de 15 ans sont atteints. Il s’agit d’une maladie neurodégénérative associée à la perte de l’inhibition dopaminergique de l’hypothalamus sur les mélanotropes de la pars intermedia. L’âge semble être le seul facteur prédisposant et la qualité de vie des chevaux atteints est considérablement impactée. Le diagnostic de cette maladie reste encore à ce jour un réel défi. La gestion pharmacologique de la maladie est assez restreinte et se concentre surtout sur le pergolide mésylate. Cependant, celui-ci est fort couteux et rend certains chevaux anorexiques, diarrhéiques ou léthargiques. Il y a aussi tout un management à mettre en place. Le marché de la phytothérapie est en pleine croissance et touche particulièrement les propriétaires de chevaux atteints du syndrome de Cushing. En effet, de nombreux produits sont mis en vente et ce travail cherche à savoir leur réel impact sur la santé de nos chevaux. L’analyse des douze compléments alimentaires les plus populaires a permis d’observer une certaine logique dans les plantes choisies pour leur composition. Cependant, la phytothérapie vétérinaire est encore trop peu étudiée et possède de nombreuses limites. Les plantes sont étudiées et leurs bienfaits démontrés mais des études sur les chevaux, plus particulièrement atteints du syndrome de Cushing sont nécessaires pour leur donner une véritable crédibilité thérapeutique.
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