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Faculté de Médecine Vétérinaire
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Maladie hémorragique virale chez le lapin : prévention et diagnostic

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Herman, Charlotte ULiège
Promoteur(s) : Dewals, Benjamin ULiège
Date de soutenance : 25-jui-2024 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/20779
Détails
Titre : Maladie hémorragique virale chez le lapin : prévention et diagnostic
Auteur : Herman, Charlotte ULiège
Date de soutenance  : 25-jui-2024
Promoteur(s) : Dewals, Benjamin ULiège
Membre(s) du jury : Vanderplasschen, Alain ULiège
Machiels, Bénédicte ULiège
Gillet, Laurent ULiège
Gourzonnes, Claire ULiège
Langue : Français
Discipline(s) : Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en médecine vétérinaire
Faculté : Mémoires de la Faculté de Médecine Vétérinaire

Résumé

[fr] La maladie hémorragique virale du lapin, également connue sous le nom de RHD pour « rabbit
hemorrhagic disease », est provoquée par un Lagovirus appartenant à la famille des Calicivirus.
Hautement contagieuse, elle s’avère souvent mortelle pour les lapins domestiques, d’élevage et
sauvages, en particulier de l’espèce Oryctolagus cuniculus. Cette maladie représente une menace constante, entraînant des pertes économiques dans les élevages cunicoles et une réduction de la population sauvage, notamment en Belgique. En raison de divers facteurs, les données sur l’impact de la maladie en Belgique, que ce soit chez les animaux domestiques, d’élevage ou sauvages, sont manquantes, soulignant ainsi l’importance d’un diagnostic adéquat. Celui-ci se déroule en trois étapes. La première étape implique une anamnèse approfondie, une bonne connaissance des signes cliniques les plus fréquemment observés, ainsi que l’utilisation et l’interprétation correcte des examens complémentaires, comprenant une prise de sang et une tigette urinaire. La deuxième étape implique l’observation des lésions caractéristiques lors de l’autopsie et/ou des analyses histologiques. Enfin, la dernière étape, la seule à garantir un diagnostic de certitude, nécessite l’envoi d’un échantillon à un laboratoire pour des analyses ELISA ou RT-PCR. Étant donné l’absence de traitement spécifique contre cette maladie, la prévention émerge comme le rempart principal contre cette maladie. Celle-ci s’appuie principalement sur la vaccination, dont l’administration correcte n’est pas toujours garantie, ainsi que sur des mesures de biosécurité qui sont parfois négligées ou méconnues. Il est donc primordial de renforcer les connaissances sur les bonnes pratiques de vaccination et les mesures de biosécurité.


Fichier(s)

Document(s)

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Access HERMAN_Charlotte_TFE_FMV_juin2024_définitif.pdf
Description:
Taille: 624.49 kB
Format: Adobe PDF

Auteur

  • Herman, Charlotte ULiège Université de Liège > Master méd. vété.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

  • Vanderplasschen, Alain ULiège Université de Liège - ULiège > > Immunologie vétérinaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Machiels, Bénédicte ULiège Université de Liège - ULiège > Département des maladies infectieuses et parasitaires (DMI) > Vaccinologie vétérinaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Gillet, Laurent ULiège Université de Liège - ULiège > Département des maladies infectieuses et parasitaires (DMI) > Vaccinologie vétérinaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
  • Gourzonnes, Claire ULiège Université de Liège - ULiège > Département des maladies infectieuses et parasitaires (DMI) > FARAH: Santé publique vétérinaire
    ORBi Voir ses publications sur ORBi
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