Incidence de Neospora caninum comme agent pathogène responsable d'encéphalopathie chez le chien : étude rétrospective à la Clinique Vétérinaire Universitaire de l'ULiège
Ghesquière, Claire
Promotor(s) : Peeters, Dominique
Date of defense : 27-Jun-2024 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/20793
Details
Title : | Incidence de Neospora caninum comme agent pathogène responsable d'encéphalopathie chez le chien : étude rétrospective à la Clinique Vétérinaire Universitaire de l'ULiège |
Translated title : | [en] Incidence of Neospora caninum as causative pathogen agent of encephalopathy in dogs : retrospective study at the ULiège University Veterinary Clinic |
Author : | Ghesquière, Claire |
Date of defense : | 27-Jun-2024 |
Advisor(s) : | Peeters, Dominique |
Committee's member(s) : | Roels, Elodie
Busoni, Valeria |
Language : | French |
Number of pages : | 35 |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] Neospora caninum est un parasite protozoaire. Il infecte le chien, qui est son seul hôte définitif, en lui causant principalement des signes neurologiques et des troubles de l’appareil reproducteur. Plusieurs techniques permettent de confirmer ou d’infirmer une infection à Neospora caninum. La PCR quantitative est une méthode assez sensible et spécifique pour poser un diagnostic de néosporose dans cette espèce.
Dans la présente étude rétrospective, 106 cas de chiens présentant des troubles neurologiques et testés par PCR sur liquide céphalorachidien (LCR) à la Clinique Universitaire de l’ULiège pour la néosporose entre juillet 2017 et septembre 2023 ont été étudiés. Un seul des échantillons est revenu positif à Neospora caninum. J’ai donc analysé l’anamnèse, l’examen neurologique et les examens complémentaires qui se rapportaient à chaque dossier afin d’évaluer l’incidence de la néosporose dans cette population et de juger au mieux la probabilité pour chaque patient de souffrir de la néosporose. Les résultats de cette étude mettent en évidence l’importance de limiter les tests au vu de l’incidence très faible de cette maladie.
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